Ligue 1-18e Journée : Montpellier ralentit, Lyon accélère
Déc19

Ligue 1-18e Journée : Montpellier ralentit, Lyon accélère

  0 Like(s) Nous sommes déjà fin décembre et les journées de ligue 1 se suivent mais ne se ressemblent pas pour un suspense qui s’annonce prenant jusqu’à la 38e journée. Ça se resserre encore devant où la lutte Paris-Montpellier-Lille-Lyon n’a jamais été aussi serrée. Derrière les 3 relégables ont gagné. Décryptage de l’avant dernière journée de l’année 2011.   Samedi : des nuages sur Montpellier, grand soleil sur Lyon Montpellier se devait de réagir après son faux pas valenciennois de la semaine dernière. Mais avant d’envisager une victoire il fallait passer sur Toulouse, qui reste sur de bons résultats (malgré la défaite lyonnaise). Sissoko semble revenu à son meilleur niveau, Tabanou gagne en expérience de match en match, et surtout Bulut marque enfin ! En première période Toulouse se montre bien plus entreprenant que les joueurs locaux, mais c’est les héraultais qui ouvrent le score par Dernis sur une belle action offensive partie d’Utaka, relayé par Giroud et conclue par l’ancien lillois. On pense alors revoir le Montpellier conquérant. Toulouse déjoue et marque le pas par des errements techniques trop importants, mais Mbengue égalise grâce à une frappe de l’intérieur du pied splendide après avoir éliminé 3 joueurs montpelliérains. Montpellier poussera toute la seconde période, sans résultat. Malgré l’excellent match d’Hilton et de Giroud, Montpellier perd 2 points dans la course en tête, à souligner le match fantomatique de Belhanda, son deuxième en deux journées. Attention, Montpellier est prévenu.   On jouait aussi un match aux senteurs de podium dans le Rhône où l’OL recevait Evian TG pour un match largement à sa portée. Lisandro est préféré à Gomis seul en pointe, et l’OL domine clairement toute la première période. Briand ouvre le score sur une reprise après une frappe sur le poteau de l’excellent Alexandre Lacazette, qui pourrait frapper à la porte de l’équipe de France d’ici peu si son niveau de jeu reste le même. Gerland est toutefois refroidi très vite, 8 minutes après exactement. Sagbo part seul en contre et ajuste une frappe puissante entre les jambes de Lloris, pas exempt de tout reproche sur ce but (on ne lui en tiendra pas rigueur vu le nombre d’arrêts miraculeux de l’ancien niçois depuis le début de saison). Lyon rentre au vestiaires après avoir dominé une rencontre mais encaissé un but malheureux sur un contre, le retour de la pause montrera que cet OL là à du caractère. Les gones dominent outrageusement les voisins savoyards, Garde fait entrer Gomis à la place d’ Ederson à l’heure de jeu pour passer à deux pointe, ce qui amènera le deuxième but lyonnais signé Lisandro sur une tête, et (surtout) sur...

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Ligue 1-14e journée: Montpellier et Lille ne lâchent rien
Nov27

Ligue 1-14e journée: Montpellier et Lille ne lâchent rien

  0 Like(s) Nouvelle journée de Ligue 1 ce week-end et au programme, avant le clasico OM-PSG : des buts, Montpellier en haut, Lyon et Rennes restent dans la course, Ajaccio et Nice bonnets d’ânes, et des stades qui se vident. Samedi : Montpellier met la pression sur Paris. Lille conclut sa belle semaine Montpellier effectuait un déplacement périlleux dans le Doubs ce samedi et devait à tout prix gagner pour espérer rester dans la roue, voire dépasser le Paris SG à l’issue de cette 15e journée. Mission réussie pour des héraultais qui se sont fait peur mais qui ont largement mérité leur victoire. Giroud est dans la forme de sa vie et Belhanda a plané au-dessus de cette rencontre et surtout au-dessus de Martin et Boudebouz, qui semblaient perdus pendant tout le match. On a également pu apprécier la solidité défensive avec les très bons Saihi, Bocaly et Hilton, qui se refait une santé après son triste épisode marseillais. Sochaux a tenté, mais Sochaux était clairement en dessous de son visiteur d’un soir. Martin déçoit et Boudebouz n’a été que l’ombre de lui-même. Pourtant on y a cru lors de l’égalisation de Camara, mais c’est logiquement que Giroud est venu montrer que ce Montpellier-là n’est pas là par hasard. On pensait que c’était le tube de l’été, mais les joueurs du président Nicollin semblent bien partis pour jouer au moins la Ligue des Champions jusqu’au bout. Attention à bien gérer le début d’année 2012 qui s’annonce déjà palpitant. L’autre match phare de ce samedi soir était Lille-Brest, avec les champions de France en titre impressionnant à Moscou mais privés de Pedretti et Basa, et avec Sow et Cole sur le banc au coup d’envoi, comme un message fort de Rudy Garcia après leur match décevant à Toulouse la semaine passée. A Brest ça semble aller mieux et on se disait pourquoi ne pas aller chercher un bon résultat en terre lilloise comme Evian TG il y a quelques semaines. Pourtant le LOSC a démarré très fort la rencontre avec de nombreuses occasions suivies du but de Payet à la 11e. Brest a été acculé en défense et De Melo, très bon jusqu’à sa blessure, doit sortir remplacé par Sow. Puis peu à peu on voit les lillois s’éteindre, comme un mauvais souvenir de début de saison où le LOSC se montrait incapable de garder un avantage de deux buts. Baysse a commencé à déborder et franchement inquiété Béria, Roux a posé de gros problèmes à Rozenhal et Chedjou, et Martia aidé de Zebina ont parfaitement muselés Sow et Hazard. On a d’ailleurs du mal à reconnaitre le belge depuis quelques...

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Ben le Sport : L’analyse de France vs Belgique (0-0)
Nov16

Ben le Sport : L’analyse de France vs Belgique (0-0)

  0 Like(s) Mardi 15 novembre 2011 – L’Équipe de France de football a conclu son année 2011 par un match nul (0-0) face à la Belgique, 3 jours après sa petite victoire face aux USA (1-0). Les deux matchs amicaux n’auront pas permis au public parisien de se réchauffer tant l’EdF a manqué de créativité et d’imagination dans la construction du jeu. L’équipe concocté par Laurent Blanc avait pourtant des allures d’équipe « type » avec les joueurs performants du moment (Remy, Martin, Ribery, Abidal). Face à une équipe belge prédestinée à un très bel avenir, on pouvait s’attendre enfin à du beau jeu. Mais la confrontation a vite tourné en une opposition tactique fermée plutôt qu’en une expression libre du jeu. Saluons la défense quand même … On peut pas dire que les Bleus soient réellement vernis par le jeu de leurs adversaires depuis quelques temps tellement celui-ci est d’un terne absolu (seule la Bosnie au SdF cette année a joué libérée), et comme l’animation offensive manque désespérément de génie et d’automatismes, on commence presque à s’habituer à un non-match à chaque rencontre. Alors, je trouve quand même du positif dans cette habitude : à savoir que l’équipe est invaincue depuis 17 matchs et que la défense devient de plus en plus sure, avec une mention spéciale pour Rami. Les Bleus ont quand même du se coltiner la Bosnie, l’Angleterre, le Brésil, l’Ukraine, … on peut pas faire la fine bouche sur la qualité de notre défense. Des automatismes décidément introuvables Malheureusement, ce n’est pas tout ce que nous retiendrons de l’aventure Blanc jusqu’à présent : le manque de jeu devient inévitablement le sujet le plus sensible, et Laurent Blanc n’a pas caché sa frustration après le match quant au contenu bien faible du match en mettant l’accent encore une fois sur l’inexpérience de certains joueurs d’un point de vue international. Est-ce la vrai raison ? Ribery, Benzema, Malouda, Nasri, … ont quand même un certain vécu. Martin, M’Vila, Menez, Remy, ont prouvé qu’ils pouvaient débloquer des situations. Alors pourquoi la mayonnaise ne prend toujours pas ? Hier soir, seul Ribery (dans les 4 de devant) a proposé quelque chose. Alors certes, cela reste taché d’erreurs et de mauvais choix parfois, mais le munichois a laissé entrevoir une belle promesse de le revoir bientôt au sommet sous le maillot bleu. Le mal profond de cette équipe est que les automatismes et une régularité entre les joueurs dits talentueux n’arrivent toujours pas à opérer malgré la volonté de beaucoup (Martin, Remy, Ribery). Après près de 20 matchs joués ensemble, des rassemblements sur plusieurs jours, Laurent Blanc a décidément du mal...

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Ben le Sport : Les notes de France vs Belgique (0-0)
Nov16

Ben le Sport : Les notes de France vs Belgique (0-0)

  0 Like(s) LLORIS (6) : On aurait pu penser qu’il n’aurait une nouvelle fois pas grand chose à faire, la faute à des tirs non cadrés et à une défense bleue qui a délivré un match sérieux. Pourtant, il a sorti un double arrêt de très haut niveau sur deux frappes de Mirallas en fin de partie. Tout de même, on déplorera quelques dégagements et placements hésitants. REVEILLERE (5,5) : Il a tenu son couloir droit malgré quelques flottements (tirs de Mirallas). Par contre, il n’a presque jamais été trouvé en attaque malgré quelques incursions. Il n’apparait pas comme la force 1ère à son poste : il fait le boulot sans atteindre pourtant des sommets d’excellence. RAMI (7) : Il n’y a pas à dire, Adil commence réellement à faire son trou dans cette équipe. Ses détracteurs retiendront de lui ses quelques maladresses (mésentente avec Lloris et Sakho) mais personnellement je retiens sa capacité à tenir la baraque bleue match après match, et de mieux en mieux. Il y avait quand même quelques bons clients en face. Il devient aussi un élément sur lequel Blanc doit s’appuyer pour la base de la construction puisque ses relances (magnifiques transversales pour Ribery, Remy et la dernière pour Malouda) et ses percées peuvent être réellement bénéfiques pour une équipe en manque d’animation. SAKHO (6) : Moins libre que son compère de la défense centrale, le Parisien a délivré une prestation des plus solides, bien loin de sa dernière titularisation en Biélorussie. Présent dans les duels, il s’est coltiné à tour de rôle Hazard, Vossen …. Une performance qui doit réjouir Laurent Blanc qui voit en lui le futur défenseur central tricolore. ABIDAL (5,5) : Lui aussi a été bien présent ce soir, surtout dans les duels et la capacité à annihiler les intentions défensives adverses. Disponible également en attaque, il a cependant eu des difficultés à alimenter Ribery et combiner avec lui. Plus effacé en seconde période, le Barcelonais aurait pu nous offrir plus tout de même, compte tenu de ce qu’il peut faire en club. M’VILA (5) : Avant sa sortie sur civière à quelques minutes de la mi-temps, le rennais avait livré une prestation mi-figue mi-raisin. Il ne retrouve plus l’impact sur le jeu qu’il pouvait avoir dans les matchs antérieurs. A sa décharge, l’équipe belge a rarement pu lui accorder de l’espace pour lui permettre son jeu vers l’avant. Remplacé par GONALONS (6) qui à l’image de M’Vila à ses débuts, montre des qualités d’adaptation très intéressantes. De par sa maturité et son talent, le Lyonnais a su prendre la mesure de l’opposition et offrir une garantie défensive...

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Victoire à Paris-Bercy : Roger Federer est de retour
Nov13

Victoire à Paris-Bercy : Roger Federer est de retour

  0 Like(s) Le Suisse a disputé sa 99ème finale ATP de sa carrière, la première à Paris-Bercy. Il a disposé, dans un Palais Omnisport surchauffé, du local de l’étape, Jo-Wilfried Tsonga. Federer ajoute ainsi un nouveau Masters 1000 à son palmarès déjà bien garni. Alors RF peut-il revenir au meilleur de sa forme en 2012, lui qui a connu certaines difficultés cette année ? Enquête de votre blog tennis. Contre vents et marées, Roger Federer est en train de revenir sur le devant de la scène. Lui qu’on avait oublié cette année, au profit de la bataille épique entre Djokovic et Nadal. C’est pourtant Federer qui a été le premier à battre Novak Djokovic cette année justement. Mais beaucoup n’en avaient cure, RF était fini. Aucun titre du Grand Chelem, une première depuis 2002, un seul titre bien maigrichon pour celui qui pouvait en remporter 12 lors de ses meilleures années ; une place perdue sur le podium du classement ATP, bref rien n’allait pour Roger. Certes c’était vite oublié que le Suisse était à nouveau à deux doigts de sortir Djokovic en demi-finale de l’US Open, mais pour beaucoup Federer avait manqué sa saison. Et puis, et puis, Roger refait surface, lentement mais sûrement. D’abord à Bâle, pour son retour à la compétition après 6 semaines de repos. Un nouveau trophée qui s’ajoute pour celui que beaucoup désignent comme le meilleur joueur de l’histoire du tennis, même si RF n’a pas eu à sortir de top 10. Mais l’essentiel est ailleurs, le Bâlois a montré qu’il pouvait pratiquer un tennis redoutable comme à ses heures de gloire, et donné tort à ses détracteurs qui le disaient terminé. À Bercy, Roger confirme tout le bien qu’on pense de lui depuis quelques semaines. Un service remarquable, des déplacements qui rappellent ceux de sa jeunesse, une solidité mentale dans les points importants, bref une gestion parfaite de ses rencontres. Certes, le Suisse a globalement été épargné par le tableau, mais il a quand même réussi à sortir, hier dans le dernier carré, le Tchèque Tomas Berdych en deux sets secs (6/4 6/3). Et a battu sans trop de soucis un Tsonga plus nerveux et encore un ton en-dessous (6/1 7/6). La question que tout le monde se pose, c’est, outre ce qu’il peut faire au Masters, sa compétitivité l’an prochain. Roger peut-il revenir au top mondial ? Peu de points à défendre par rapport à ses concurrents L’an prochain, Roger Federer n’aura pas beaucoup de points à défendre si on compare son parcours global à celui de ses adversaires. En Grand Chelem, il a atteint la demi-finale de l’Open d’Autralie et celui de...

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Djokovic, fin de cycle ?
Nov05

Djokovic, fin de cycle ?

  0 Like(s) Le Serbe a subi une déconvenue pour son retour à la compétition au tournoi de Bâle. Novak Djokovic s’est fait sortir par le Japonais Nishikori sur un score relativement sec (6-2/5-7/0-6) en demi-finale. C’est sa quatrième défaite de la saison, mais la première où le numéro 1 mondial s’est réellement fait dominer par un adversaire pourtant beaucoup moins bien classé que lui. Faut-il y voir une fin de cycle ? Analyse. Épatante saison que réalise Novak Djokovic cette année. En 2011, le Serbe a décroché pas moins de 10 titres, dont 5 Masters 1000 et 3 Grand Chelem. Une domination donc sans partage, marquée par un nombre de défaites qui se compte encore sur les doigts de la main. En effet, Djokovic a connu seulement 4 fois le goût de la défaite. Moins bien que John Mac Enroe certes, mais une statistique hallucinante dans le tennis d’aujourd’hui, où le Serbe doit affronter des cadors tels que Nadal, Federer ou bien encore Murray. 71 matchs au total pour le moment, dont 67 victoires. C’est presque autant de match qu’a disputé tout au long de la saison le Suisse Roger Federer. Les comparaisons peuvent se multiplier, le constat reste le même : Djokovic a archi-dominé l’ensemble de la saison 2011. Mais depuis sa victoire finale à l’US Open sur Rafael Nadal, le Serbe ne tourne plus rond. Une défaite sur abandon contre Juan Martin Del Potro dans le cadre de la demi-finale de la Coupe Davis, et donc une nouvelle élimination en demi-finale du tournoi de Bâle, face à un jeune Japonais dénommé Nishikori. Un tournoi délicat en forme de reprise Depuis son arrivée à Bâle, Novak Djokovic a subi des difficultés à chacun de ses matchs, hormis contre Lukasz Kubot en huitième de finale. Avant, contre Xaxier Malisse, et après contre Marcos Baghdatis et donc Nishikori, «Nole» comme on le surnomme s’est toujours compliqué la tâche, en ne sachant pas gérer son match. Ce qui en faisait pourtant une de ses principales raisons de son succès cette année : une gestion impeccable des évènements en cours de match. Contre le Chypriote, Djokovic a mis une bonne demi-heure avant d’entrer dans son match. En ce laps de temps, son adversaire lui avait déjà pris la première manche, contraignant le Serbe à remporter les deux suivantes. Contre Malisse et Nishikori, Djoko n’a cette fois pas su gérer son avance d’un set. Contre le Belge, la victoire fut au rendez-vous, mais le Japonais a tenu la cadence sur deux sets entiers, réussissant l’exploit de battre le numéro 1 mondial. Cette sortie de route peut s’expliquer par le fait que Djokovic n’avait plus joué...

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Ben le Sport : Où sont les billets pour voir les matchs de l’Euro 2012 ?
Nov05

Ben le Sport : Où sont les billets pour voir les matchs de l’Euro 2012 ?

  0 Like(s) M’étant rendu récemment en Pologne (à Cracovie) où j’ai eu la chance de pouvoir voir Michel Platini (pour le tirage des barrages de l’Euro 2012), je me suis intéressé à l’organisation de la vente des billets pour assister au championnat d’Europe des nations qui se déroulera du 8 juin au 1er juillet 2012 en Pologne et en Ukraine. Alors je vais tenter d’être clair et précis même si le sujet est marqué par des invraisemblances et un manque d’information (peut-être que je ne maitrise pas entièrement le sujet me direz-vous !)   Acheter des billets via la loterie … Les billets pour l’Euro 2012 ont été mis en vente pour le grand public en mars 2011 par l’intermédiaire d’une loterie informatique : le saviez-vous ? En France, je serais surpris du nombre de gens au courant de ca. Plus de 12 millions de demandes de billets (record historique pour le Championnat d’Europe) ont été enregistrées sur le site de l’UEFA pour seulement … 550000 tickets pour assister aux matches. Tous les demandeurs (quatre billets par personne) avaient des chances égales d’acquérir un billet quelle que soit la date de la demande, suivant le tirage au sort organisé par l’UEFA du 19 au 22 avril dernier. Résultat : d’après la législation, les acheteurs ont eu le choix entre des billets individuels ou des billets groupés pour une série de matches (abonnement équipe) ou pour un stade spécifique (abonnement site).   … sans savoir pour quel match … Là où j’ai du mal à comprendre ce système, c’est qu’on ne sait pas à l’heure actuelle, quelles seront les 16 équipes qui participeront à la compétition (les barrages qui qualifieront les 4 dernières équipes ont lieu les 11 et 15 novembre 2011) et par conséquent on ignore totalement le tableau final du tournoi (qui sera dévoilé le 2 décembre 2011). De ce fait, les acheteurs ont payé des tickets pour des matchs dont il ignore totalement les affiches et quelles nations seront opposées. Vous conviendrez avec moi que c’est de l’invraisemblance pure. Par contre, la Pologne et l’Ukraine étant les pays hôtes, ces deux pays sont les seuls pour l’instant à figurer dans ce tableau (groupes A et E), et de ce fait il est à ma connaissance possible d’acheter des billets pour les voir en phase de groupe (les dates et stades sont connus – seuls les adversaires restent une énigme). Et c’est pour cela que la plupart des demandes de billets enregistrées en mars dernier, provenaient de Pologne et d’Ukraine. Mais à l’inverse de Michel Platini que se félicite de l’intérêt de la population des pays organisateurs...

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Ligue 1- 12ème Journée : des derbies, des buts et des cartons … et Denis Balbir
Oct30

Ligue 1- 12ème Journée : des derbies, des buts et des cartons … et Denis Balbir

  0 Like(s) La soirée de samedi comptant pour la 12e journée de Ligue 1 fut riche en spectacle, Le Paris SG continue sur sa lancée, Montpellier est toujours dans la course, Marseille revit, Lyon bat à nouveau les verts et Bordeaux enfin solide à Ajaccio, retour sur cette soirée de Ligue 1. Paris SG-Caen 4-2, le diesel parisien Du spectacle et des rebondissements, c’est ce qu’a pu admirer hier le Parc des princes copieusement garni. Pourtant le score final n’est pas forcément révélateur du match des hommes d’Antoine Kombouaré. Le kanak décide d’aligner la grosse équipe mis à part Sakho préféré à Lugano. Pourtant c’est Caen qui ouvre rapidement le score par Heurtaux sur corner (12e). Heureusement pour les parisiens Nenê nous a encore gratifié d’un match d’exception hier soir. Le brésilien est à l’origine et à la transformation du pénalty de l’égalisation (expulsion de Nivet sur la faute 19e). Les parisiens dominent et rentrent aux vestiaires sur un score nul. Au retour, les joueurs de la capitale poussent et Ménez servi par Gameiro, libère le Parc. Après une foule d’occasions, Nenê inscrit un doublé de nouveau sur pénalty (76e). On s’attend dès lors à une fin de match facile mais ce n’est pas le cas. Vandam réduit le score sur une tête puissante (81e). Paris maitrise son sujet et le but de Pastore (89e) vient clore une belle mais poussive soirée parisienne qui aurait dû voir les hommes de la capitale s’imposer plus largement. On a aimé : Nenê encore décisif, Sakho de retour aux affaires et des caennais solidaires. On a moins aimé : Sirigu aux fraises sur les deux corners caennais qui amènent les buts, et le PSG qui aurait dû davantage se faciliter le match.   Montpellier-Nancy 2-0, Giroud Monsieur + On ne les entend pas trop mais les montpelliérains sont toujours deuxièmes. Après une première période presque insipide (attaque stérile et des nancéiens un peu dangereux) l’équipe de René Girard s’est clairement mise en route en seconde période. Un coup de génie de Giroud (centre-tir dans le petit filet opposé de Ndy Assembe 61e) puis une reprise de Camara à bout portant (74e) font de Montpellier la meilleure attaque du championnat et la surprise de ce début de saison. On a aimé : Giroud, le facteur plus de Montpellier, et la rentrée du revenant Stambouli qui délivre la passe décisive pour Camara. On a moins aimé : une première période d’une faible intensité ; pour rester à cette place, Montpellier devra jouer ses matchs en entier !   Brest-Lorient 3-1, la Bretagne sait jouer au foot Le derby breton n’a pas déçu hier, loin de là, entre un...

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Coupe de la ligue 2011 – 1/8 de finale : Lyon et Lille passent, Paris cale
Oct26

Coupe de la ligue 2011 – 1/8 de finale : Lyon et Lille passent, Paris cale

  0 Like(s) Renversants bourguignons ! Après les avoir reçu au Parc des princes, le Paris Saint Germain se déplaçait à Dijon après sa victoire le weekend-end dernier. Cette fois-ci on a eu droit à deux équipes grandement remaniées (Tchagouni, Altama ou Jouffreau côté dijonnais – Douchez, Bahebeck et Erding titulaires côté parisien). Tout commence pour le mieux pour le club de la capitale avec Bahebeck qui ouvre le score sur un magnifique coup franc (16e), avant qu’Erding d’un plat du pied ne double la marque après seulement 20 minutes de jeu, face à une défense dijonnaise débordée. Puis vint le tournant du match : une faute de Lugano dans la surface qui permet à Sankharé de réduire le score face à son ancien club (30e). Paris perd ses moyens et Berenguer égalise 3 minutes plus tard. En seconde période Paris n’est plus aussi dangereux et Dijon en profite. Camara commet une main dans la surface et Jovial trompe une nouvelle fois Douchez dans un stade Gaston Gérard aux anges. Le DFCO tiendra le résultat jusqu’au bout malgré les rentrées de Gameiro et Nenê. Très belle performance des bourguignons et scénario difficile à avaler pour le Paris SG qui recevra Caen dès samedi.   Lorient opportuniste Le match à Dijon à peine terminé, le coup d’envoi était déjà donné entre Montpellier et Lorient. Là aussi on fait tourner et c’est de nouveau un stade clairsemé qui accueille les 22 acteurs (moins de 5000 spectateurs à la Mosson). Les locaux qui manquent totalement leur 1ère mi-temps et laissent Lorient ouvrir le score par Emeghara sur un face à face gagnant avec Pionnier. Réduits à 10 après la pause suite à l’expulsion de Bocaly, Giroud parvient tout de même à égaliser à la 65e, mais c’est logiquement Campbell, entré avant la pause à la place d’Emeghara, qui marque le but du K-O synonyme d’élimination pour le finaliste de l’édition précédente. Montpellier n’a pas montré son visage habituel en championnat, et peut désormais se concentrer uniquement sur le championnat où l’équipe de René Girard pointe à la seconde position.   Lyon refroidit le chaudron, Lille facile, la surprise Mancelle. Les huitièmes de finale se sont terminés dans la soirée, avec comme point d’orgue le derby électrique entre l’AS Saint Etienne et l’Olympique Lyonnais. Un stade Geoffroy Guichard plein et une première mi-temps où les deux formations se livrent sans arrière pensée : tête de Kitambala (5e), centre de Guilavogui contré par Vercoutre (6e) puis l’ouverture du score de Briand suite à un coup franc de Kallstrom dévié par le mur stéphanois (40e), l’OL rentre aux vestiaires avec l’avantage et ne le lâchera plus, malgré...

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Coupe de la ligue 2011 – 1/8 de finale : l’OM sans forcer
Oct25

Coupe de la ligue 2011 – 1/8 de finale : l’OM sans forcer

  0 Like(s) Mardi 25 octobre 2011 – Avant le match de ce soir beaucoup d’observateurs soulignaient un match entre deux équipes malades : l’OM, mal en point en championnat et miné par le clash Deschamps/Anigo en coulisses, et le RC Lens qui pointe à la 15e place de ligue 2 et incapable de remporter le moindre match depuis plus d’un mois (Boulogne s/mer le 16 septembre, 2-1). Oui mais voilà, on ne soigne pas une grippe comme on soigne une méningite, et les marseillais nous en ont fait l’explication ce soir. Deschamps avait choisi d’aligner une équipe mixte composée d’habituels remplaçants (Bracigliano dans les buts, Sabo et Jordan Ayew sur les ailes, et surtout Gignac devant) et de titulaires pas forcément en pleine forme (Fanni, Lucho et Amalfitano). Du côté des sangs et or, Jean Louis Garcia avait décidé de laisser Fabre sur le banc et de relancer Kasraoui, idem pour Pollet décevant contre Guingamp à qui le coach artésien a préféré Thorgan Hazard.   A sens unique Dans un vélodrome qui sonnait creux (à peine 20 000 spectateurs) les marseillais ont rapidement pris l’ascendant sur leurs homologues lensois. Ayew place une tête non cadrée (8e) avant que Kasraoui ne se détente pour sortir une tête de Kaboré, très bon ce soir. Amalfitano, le meilleur marseillais du match, enchaine les centres et obtient un bon corner au quart d’heure de jeu. Celui-ci est mal dégagé et c’est Gignac qui place une magnifique demi-volée pour ouvrir le score. C’est le 1er but de la saison pour l’attaquant qui se libère enfin après les bouts de matchs disputés depuis le mois d’août. Après ce but, on aurait aimé voir une réaction lensoise, mais rien ou presque, pour cause de timidité ou par manque de moyens. Marseille calma le jeu par la suite en attaquant par bribes. Les Olympiens terminent la première mi-temps avec un avantage qui aurait pu (du ?) être bien plus lourd. En face, seul Hazard d’une frappe nettement au-dessus a tenté d’inquiéter leur hôte du soir. Avec des sangs et or, habillés en bleu et jaune ce soir, bien trop fébriles, Jean Louis Garcia avait du boulot à la pause.   Remy dynamiteur d’une défense lensois bien pâle Au retour des vestiaires on assiste au même scénario, les phocéens confisquent le ballon et Gignac, d’une frappe trop enlevée (49e), ou Ayew, sur une déviation sauvée in extremis par Kasraoui (53e), manquent de peu le but du K-O. L’ancien lorientais se procure une dernière double occasion face à Kasraoui suite à un énième centre d’Ayew : il bute sur le portier puis frappe le poteau. Dans la minute suivante il...

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Ligue 1 – 11ème journée : Analyse de Lille vs Lyon (3-1)
Oct24

Ligue 1 – 11ème journée : Analyse de Lille vs Lyon (3-1)

  0 Like(s) Lille-Lyon 3-1 Une première mi-temps lyonnaise et une seconde totalement lilloise. Contrairement à son match face à l’Inter mercredi, les lillois ont parfaitement su gérer ce match piège face à des lyonnais certes fatigués mais toujours dangereux, comme l’atteste le but de Briand à la 22e. Heureusement pour les nordistes Sow égalisait d’une superbe talonnade sur un ballon relâché par Lloris juste avant la mi-temps. De quoi assommer les lyonnais peut-être un peu fatigués par leur match à Madrid mercredi. Mais les joueurs de Rémi Garde ont surtout été dépassés par une équipe nordiste qui a enfin retrouvé son jeu de la saison dernière, avec un excellent Payet toujours dangereux, qui tira parfaitement ses corners et surtout son coup franc sur la tête de Basa pour la balle du 2-1. Cole vint clore parfaitement la soirée sur un contre orchestré par Hazard très en jambes hier soir. Victoire logique pour le champion en titre et 7 buts encaissés en 2 matchs pour les lyonnais, qui vont devoir se réveiller s’ils ne veulent pas sombrer dans une spirale négative On a aimé : la fraicheur lilloise, la solidité de Basa et son apport offensif sur les coups de pied arrêtés, Hazard et Payet enfin à leur niveau et Sow qui retrouve le chemin des filets On a moins aimé : Des lyonnais dépassés en seconde période, avec un Lloris qui relâche un ballon face à Sow, Bastos pas trop aidé par Cissokho lui-même dominé trop souvent par Balmont et Debuchy et Gomis qui a loupé un but tout fait sur une volée devant Landreau. Si vous les avez manqués : les analyses des autres matchs de cette 11ème journée de Ligue 1...

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Ligue 1 – 11ème Journée : Analyse des matchs
Oct24

Ligue 1 – 11ème Journée : Analyse des matchs

  0 Like(s) Marseille-Ajaccio 2-0 Drôle d’ambiance à Marseille malgré la victoire face à l’ACA. Entre la grève des supporters et les tensions internes entre Deschamps et Anigo, la crise couve sur la canebière, si elle n’a pas déjà commencé ! Après la désillusion Arsenal, Didier Deschamps avait placé Alou Diarra et Lucho Gonzalez sur le banc, préférant jouer avec Amalfitano au côté de Cheyrou et Jordan Ayew sur l’aile droite. L’ancien lorientais a été moyen à un poste inhabituel pour lui. Jordan Ayew quant à lui, a offert le premier but à son frère et a réalisé une partie tranquille. Tranquille parce qu’en face, les visiteurs n’ont pas montré grand-chose. Mandanda a été serein dans ses interventions, Azpilicueta et Morel ont été fébriles sur les cotés, André Ayew déterminant comme souvent et Loic Rémy imprécis et malchanceux (sa volée claquée par Ochoa à la 6e méritait mieux). Cependant les marseillais n’ont pas encore convaincu face à des corses franchement limités qui se reposent uniquement sur les arrêts d’Ochoa (il a privé Ayew d’un triplé avec un penalty arrêté à la 20e). Seul Cavalli et sa frappe sur la barre (12e) ont mis l’OM en danger. On peut parler de la crise à Marseille, mais au sujet des ajacciens ils sont bels et biens au fond du trou squattant une 20e place avec seulement une victoire en 11 matchs. Difficile début de saison sur l’ile de beauté, mais il est encore temps de réagir pour les hommes d’Olivier Pantaloni. Le 14e, Nice, n’est qu’à 3 points. On a aimé : André Ayew décisif et Ochoa qui prouve encore qu’il est un très bon gardien On a moins aimé : la fébrilité des promus, le jeu poussif des marseillais et l’ambiance cimetière du vélodrome   Caen-Montpellier 1-3 Contrairement à son voisin phocéen, ça marche fort à Montpellier, à égalité avec le PSG avant le match du club de la capitale contre Dijon. Les héraultais ont fait la différence en 20 minutes, le temps de marquer 2 buts (Yanga Mbiwa à la 14e et Utaka à la 20e). Les normands ont alors tout tenté et même espéré revenir après l’expulsion de Marveaux pour un second jaune à la 64e. Au final, Montpellier à 10 contre 11 joua à fond les contres et tripla la mise avec un centre de Bocaly pour Belhanda à la 80e. Nivet réduit le score sur pénalty à la 82e. Plus rien à signaler sauf l’expulsion de Frau à la 87e pour un second jaune. Caen stagne en milieu de tableau et Montpellier recollait au PSG. (3 points désormais les séparent après tous les matchs de cette 11ème journée)...

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Analyse de France / Nouvelle-Zélande (7-8), Finale de Coupe du Monde de Rugby 2011
Oct23

Analyse de France / Nouvelle-Zélande (7-8), Finale de Coupe du Monde de Rugby 2011

  0 Like(s) Dimanche 23 octobre 2011 – la Nouvelle Zélande est devenue championne du monde en battant la France par la plus petite des marges (8-7). Elle remporte la compétition pour la deuxième fois de son histoire après le sacre de 1987. Les Bleus, quant à eux, échouent en finale pour la troisième fois. J’aimerais débuter cette analyse par les mots de Pierre Berbizier (« Le plus fort sur cette coupe du monde a gagné… Mais le plus fort aujourd’hui n’a pas gagné… ») et montrer que la France peut être fière de son équipe avec le match exceptionnel qu’elle a réalisé.   Remember 2007 Dès l’arrivée des joueurs sur le terrain, on a tout de suite senti que ce match allait entrer dans une dimension exceptionnelle et offrir un combat de tous les instants. Le score final n’est certes pas grand (15 points au total) mais l’intensité tout au long de la partie a été énorme : une intensité qui a démarré dès les hymnes nationaux (une Marseillaise poignante pour les joueurs bleus, et un hymne néo-zélandais repris par tout un stade) avant que le haka black décuple la motivation française puisque les Bleus nous ont refait le coup de 2007 en venant au contact de la bande à McCaw. Les Bleus ont tout de suite affiché leur force mentale, eux que les médias néo-zélandais voyaient enterrés à 10 mètres sous terre dans cette finale. Non, les Bleus se sont élevés tel un seul homme pour s’opposer à la démonstration de force adverse pendant leur danse rituelle. Et, ce n’est pas sans mentir que les Blacks ont paru surpris voire intimidés par la provocation bleue. Ce combat de force peut d’ailleurs se résumer aux prestations des deux capitaines du soir : Dusautoir et McCaw qui ont eu des trajectoires bien différentes bien qu’évoluant au même poste (3ème ligne aile). Le toulousain a été monstrueux à l’impact, en défense et en percussion, c’est lui qui inscrit l’essai français. Le capitaine black par contre, a été bien trop discret pour relever de quelconques qualités dans ce match (Et non, ce n’est pas mon chauvinisme qui parle mais bien mon objectivité). De même, nous aurions pu comparer les performances des paires à l’ouverture où les Bleus à l’image de l’excellent Trin Dhuc (Parra étant sorti sur blessure) ont offert un jeu au pied performant. Bref, tous les joueurs Bleus ont répondu présents dans ce match et ont su faire abstraction de tout l’environnent néfaste autour du groupe pendant ces dernières semaines (notamment depuis la demi contre Galles) pour offrir leur plus beau match de la compétition.   Une première mi-temps serrée …...

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CdM Rugby 2011 – France vs Nouvelle-Zélande : à J-1, le rêve bleu dans toutes les têtes
Oct22

CdM Rugby 2011 – France vs Nouvelle-Zélande : à J-1, le rêve bleu dans toutes les têtes

  0 Like(s) Samedi 22 octobre 2011 – Demain aux alentours de midi, nous saurons si la France sera championne du monde de rugby. Vive le Sport a décidé de vous faire partager les dernières infos et l’environnement qui règnent autour de cette finale historique pour l’équipe de France opposée à la favoritissime Nouvelle-Zélande. L’heure n’est bien évidemment plus à ressasser le passé et le parcours difficile qu’ont eu les Bleus lors de la compétition. Il n’est également plus question d’évoquer l’ambiance électrique qui règne entre le sélectionneur Marc Lièvremont et ses joueurs. Tous unis derrière les Bleus Les Bleus sont à l’orée d’écrire la plus belle page de l’histoire du rugby français s’ils parviennent à vaincre l’ogre Black. La mobilisation générale et nationale demandée par les joueurs semble sévir partout dans le pays : les réseaux sociaux, les médias (malgré quelques journalistes bien pessimistes), témoignent de l’espoir de tout un peuple qui aimerait mettre un terme aux attaques critiques et incessantes venues du monde entier contre son équipe favorite tout au long de la compétition en remportant sur les terres néo-zélandaises, la célèbre coupe Webb Ellis. Le XV de France a les possibilités de faire déjouer les Blacks : ils en sont capables puisqu’ils sont en finale 🙂 Extrait du journal Tv de la chaîne BFMTV : la dernière conférence de presse le Li7vremont avant la finale Pour rappel, voici le XV de départ qui affrontera les blacks demain dimanche (10h heure française) : Médard – Clerc, Rougerie, Mermoz, Palisson – (o) Parra, (m) Yachvili – Bonnaire, Harinordoquy, (Cap.) Dusautoir – Nallet, Papé – Mas, Servat, Poux   Souvenir, souvenir…de 2007..et baume au coeur ! Histoire de déjà se mettre dans l’ambiance, Voici l’entrée des joueurs lors du match Nouvelle Zélande – France lors de la confrontation en quart de final de la coup du monde 2007. Avec le fameux Haka Black, mis en échec par le XV de France. On connait la suite…une superbe victoire...

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Ben le Sport : Analyse de France / Galles (9-8), 1/2 Finale de Coupe du monde de Rugby 2011
Oct15

Ben le Sport : Analyse de France / Galles (9-8), 1/2 Finale de Coupe du monde de Rugby 2011

  0 Like(s) Samedi 15 octobre 2011 – L’équipe de France est en finale de la Coupe du Monde de rugby après avoir « dominé » le Pays de Galles (9-8) au terme d’un match plus que difficile pour les Bleus, malgré une supériorité numérique pendant 62 minutes. La France passe à 1 point de la Galles de bois J’avais pronostiqué du beau jeu entre deux équipes joueuses et libérées après leur magnifique succès en quart contre les Anglais pour les Bleus et contre les Irlandais pour les Gallois. Mais voila, les hommes de Lièvremont sont passés tout près d’une élimination en déjouant totalement. J’aimerais les croire mais … Yachvili saluait en fin de match la solidarité et l’état d’esprit de son équipe. Peut-on réellement être d’accord avec lui, lui qui a joué, avec ses partenaires, plus d’une heure à 15 contre 14 ? On ne peut pas dire que cette supériorité numérique ait permis aux Bleus de dominer ou de tout simplement résister aux assauts gallois (hormis la dernière minute de jeu). Au contraire elle s’est fait chahuter, malmener pendant les 3/4 du match, en encaissant notamment le seul essai du match, concédant 5 pénalités et s’exposant à plusieurs tentatives de drop. Non, la réalité est que les Gallois méritaient de gagner ce match tellement ils nous ont battu sur presque tous les domaines : possession, occupation, défense (puissance incroyable de leur pack), agressivité. Valeureux, solidaires, offensifs, percutants, … ne leur manquait ce soir que l’adjectif opportunistes pour remporter ce match, et un bon jeu au pied. Ce sont d’ailleurs les 4 pénalités ratées (!) d’Halfpenny et de Hook qui leur ont réellement couté la victoire. Le jeu au pied, c’est ce qui a permis par contre, aux Français de marquer leurs 9 points, avec un 3/3 pour Parra, probablement le meilleur bleu de ce match (2 excellentes percées, mais sans aucun soutien de ses centraux). En dehors de cela et du fait qu’ils aient été a un mètre de l’essai (25eme), rien; les Bleus n’ont montré aucune volonté ni organisation offensive. Pire, on les a sentis par moment paresseux dans le replacement défensif… Alors oui, la pression était peut-être indéniablement de leur coté, eux qui aux dires de leur sélectionneur ne se sont jamais découverts parce qu' »ils n’ont pas voulu ou pas osé » préférant « se contenter de peu mais ce peu a suffit ». En tout cas, on ne pourra pas vraiment jeter la pierre au XV de France quand on regarde d’où vient cette équipe et les nombreuses critiques qu’elle a essuyées tout au long de l’année. Mais j’aurais préféré voir un XV sans pression, jouant libéré et avec...

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