Week 6 : Washington et New York n’y arrivent pas, Houston ne répond plus, Pittsburgh respire enfin.
0 Like(s) Après un soucis d’ordre technique qui m’a empêché de publier lors de la semaine précédente (week 5), me voici de retour pour la week 6 de la saison régulière NFL. Au programme, toujours des surprises, toujours des stats amusantes ou étonnantes, et donc les résumés/analyses de cette nouvelle journée. On commence, comme d’habitude, avec le Thursday Night Football, opposant les Giants aux Bears. QB Eli Manning va-t-il enfin retrouver un niveau digne de ce nom ? En face, QB Cutler fait son match et offre 2 TD à la passe à WR Marshall. Ajoutez à cela 67 yards au sol de Forte, et vous avez une attaque qui tourne bien. En défense, Chicago profite des mésaventures de …. Manning ! Trois interceptions lancées encore, dont deux pour Jennings, et une retournée pour TD. Au final, l’addition aurait pu être pire, notamment grâce à deux TD de Jacobs au sol : Giants 21-27 Bears. Belle opposition maintenant, entre une affiche qui pourrait se voir en février au Super Bowl : Packers vs. Ravens. Et aujourd’hui, pour parfaire ce match, les deux QB sont en forme : 17/32 pour 315 pour Rodgers contre 20/34 pour 342 yards pour Flacco. Avec des défenses extrêmement présentes dès le début, les points n’arrivent pas vite … Il faut attendre la fin du 3ème QT pour voir le premier TD : Nelson est à la réception d’une passe de Rodgers, et la marque est portée à 16-3 pour Green Bay. Cependant, Flacco ne se laisse pas abattre, et viendra offrir deux TD à la passe, pour Jones et Clark lors du 4ème QT. Malheureusement pour les joueurs de Baltimore, ce diable de Crosby passera un quatrième FG, pour permettre à Green Bay de l’emporter, 19-17. Voici maintenant un match très intéressant, entre deux outsiders de l’AFC : Bengals vs. Bills. Et pour ce match, QB Manuel étant laissé au repos, c’est Lewis qui prend les reines de l’attaque des Bills, et cela lui réussi plutôt bien : 19/32 pour 216 yards et 2TD. Au sol, Spiller et Jackson font leur boulot, sans être transcendants : 55 yards pour le premier, 35 pour le second, mais aussi 17 yards pour le QB entrant. Cela suffit pour tenir en échec les Bengals, qui ont pourtant des stats plus impressionnantes : 26/40 pour 337y et 3TD, 1INT pour Dalton, avec aussi 86 yards au sol pour Green-Ellis, 34 pour Jones, et 28 pour Bernard. Match équilibré …. donc prolongations ! Et à ce petit jeu, c’est Nugent, kicker des …. Bengals, qui va avoir le beau rôle : Field Goal de 43 yards qui passe entre les perches : Bengals 27-24 Bills. Place à un match qui peut nous apprendre beaucoup, entre Detroit et Cleveland. Weeden est-il capable de mener son attaque face à cette DL si impressionnante ? Stafford peut-il briller avec un Johnson de retour mais diminué ? Le match démarre de la meilleure des manières pour les Browns, qui enchaînent les drives concluants, malgré un TD de Fauria dans le QT1. Ogbonnaya et Little y vont de leur réception dans la end-zone, Cundiff passe...
Week 4 : les Chiefs insistent, les Seahawks dans l’histoire, les Steelers plongent à Wembley.
0 Like(s) Et voilà, déjà la 4ème semaine de saison régulière. Au programme, des confirmations, les Seahawks qui marquent l’histoire de la franchise, des Chiefs toujours au top, un magnifique match à Wembley, et quelques surprises tout de même … Let’s Go ! On commence sans plus tarder avec le Thursday Night Football, qui oppose San Francisco à Saint Louis. Les 49ers sont toujours en manque de repères, surtout en attaque, pour lancer correctement leur saison. Et ce match va apporter quelques réponses. Un Kaepernick qui trouve enfin ses marques malgré le peu de passes tentées (15/23 167y 2TD), RB Gore qui réalise (enfin) son premier match à plus de 100 yards (153 en 20 portés, et 1TD), et un Boldin très présent dans les airs (5 réceptions pour 90y et 1TD). En face, c’est moins brillant : Bradford n’impose pas son rythme, et avec un taux de completion bas (19/41), il n’arrive pas à faire douter la défense des 49ers. Avec un jeu au sol inexistant (16y pour Richardson), les punts s’enchainent (11) et le score n’évolue pas. San Francisco 35-11 Saint Louis. Le dimanche, on commence avec un match d’AFC très prometteur : les Bills reçoivent les Ravens, champions en titre. D’un côté, QB Manuel tarde à confirmer tout son potentiel, et nous offre un match encore moyen : 10/22 pour 167y, 1TD, mais 2INT et 1 fumble. Ca fait beaucoup, surtout face à une équipe de Baltimore très expérimentée. Cependant, QB Flacco ne fait pas beaucoup mieux : 25/50 pour 347y, 2TD mais 5INT !! Son bourreau du jour ? LB Kiko Alonso, rookie qui a fait les beaux jours de l’université d’Oregon, vient montrer tout son talent à la NFL : 2 interceptions, dont une à 57 secondes de la fin du match, qui scelle le score du match : Bills 23-20 Ravens. Les Ravens ayant perdu, quelle équipe d’AFC Nord va en profiter : Bengals ou Browns ? Depuis le début de saison, on sent les Browns dans le coup. Et malgré un effectif riche et très prometteur, les Bengals tardent à confirmer. Ca ne sera pas pour ce soir. QB Hoyer, natif de l’Ohio et donc dans son jardin à Cleveland, réalise surement le meilleur match de sa carrière : 25/38 pour 269y et 2 TD. L’autre clé du match réside en la performance du WR A.J. Green. Et CB Haden a parfaitement joué son rôle : seulement 7 réceptions et 51 yards pour le receveur vedette des Bengals. Ajoutez à cela une interception à Dalton et un jeu au sol moyen de Bernard (10 courses pour 37 yards), et le match est joué : Browns 17-6 Bengals. Autre choc au nord, mais cette fois-ci en NFC : Bears vs. Lions. Chicago pourrait reléguer Detroit à 2 victoires si ils arrivaient à s’imposer, mais la tache s’annonce compliquée… Surtout quand QB Cutler est loin d’être à son niveau optimal ! Après un début...
Week 3 : les Chiefs impressionnent, les Steelers s’enfoncent.
0 Like(s) Comme le titre l’annonce, les Chiefs ont encore impressionné cette semaine, lors du Thursday Night Football, et se retrouvent avec une fiche de 3-0, tout comme 6 autres équipes. Côté Steelers, encore défaits lors du Sunday Night Football, rien ne va. L’équipe se retrouve à 0-3, en compagnie de 5 autres équipes. Premier match de la semaine, ce fameux Thursday Night Football, qui opposait Chiefs et Eagles. Le retour de coach Reid à Philadelphie, dans « son » stade ! Et comme on s’y attendait, il fallait que la défense des Eagles ressert les rangs pour arriver à battre la franchise de Kansas City. Aucune interception sur QB Smith, aucun fumble forcé, 19 first downs laissés à l’adversaire, cela pourrait suffire : les Chiefs ne marquent qu’un TD offensif par RB Charles. Cependant, côté Eagles, l’attaque semble marquer un coup d’arrêt, et les turnovers se succèdent : 2 interceptions pour QB Vick – dont une remontée pour TD par Berry, et un fumble forcé par Houston. Malgré un total de 431 yards (dont 264 au sol !), l’attaque marque peu : 16 points. Avec leur kicker Succop (4 FG) en jambes, les Chiefs l’emportent 26-16. On arrive directement aux matchs du dimanche, avec le choc entre Ravens et Texans. Vous aimez voir des attaques dérouler leur leçon ? Passez votre chemin ! Maintenant, c’est le show des défenses, en particulier celle de …. Baltimore. En délicatesse depuis le début de saison avec les départs de Lewis et Reed, la défense des Ravens retrouve de son talent ! Seulement 194 yards laissés à QB Schaub, et 54 et 36 yards au sol pour Forte et Tate. Ajoutez à cela une interception remontée dans la end-zone par D. Smith, puis un punt retourné pour TD par T. Doss, et le boulot est fait dans sa plus grande partie. QB Flacco n’a qu’à maîtriser son attaque, chose qu’il fait bien : 16/24 171 yards 0TD 0Int, et il permet à RB Pierce d’inscrire un TD supplémentaire à la course. Ravens 30-9 Texans. On enchaîne avec deux équipes moins en forme : Panthers vs. Giants. Les joueurs de New York se remettront-ils sur le chemin de la victoire après la déroute contre les Broncos ? Rien n’est sûr, surtout quand on voit l’attaque retrouvée des Panthers : QB Newton réalise un match très correct avec 15/27 pour 223 yards, avec en prime 3 TD pour 1 int, mais également 45 yards au sol pour 1 TD. Bref, juste de quoi laisser 120 yards au sol à RB Williams. Côté Giants, c’est plus compliqué : 119 yards à la passe pour Manning, 39 au sol pour Wilson …. et aucun point marqué !! Panthers 38-0 Giants, pour leur première victoire de la saison ! Cheeseheads vs. Frosties … comprenez Packers vs. Bengals. Les hommes de l’AFC Nord seront-ils au niveau pour battre l’armada de Green Bay ?...
NFL – Week 2
0 Like(s) Au menu ce week end, deux chocs en Thursday et Monday Night Football, des équipes qui ont des choses à prouver, d’autres qui doivent confirmer … Bref, beaucoup d’attente, donc on ne perd pas de temps ! Place aux résumés/analyses de cette deuxième semaine de saison régulière de NFL ! On commence ce long week end par le Thursday Night Football, avec le choc d’AFC Est entre Jets et Patriots. Les deux équipes ont gagné en week 1, et ce match pourrait être très important dans le calcul final pour l’accession aux play offs. Malgré la pluie, QB Smith (NY) et QB Brady (NE) essayent d’installer leur jeu aérien. Du côté de New England, du fait de la blessure de Gronkowski et du départ de Welker, on voit apparaître de nouvelles têtes. Le costume de WR #1 ne semble pas trop grand pour Edelman (13rec 78y), et le rookie Dobson (3rec 56y 1TD) a sorti un match très correct. Pour les Jets, la tache se complique. Le QB Rookie Smith semble dépassé par l’enjeu, même si il a bien été protégé par sa OL, et qu’il a retrouvé le WR vedette de NY Santonio Holmes (blessure au pied la saison dernière, 3rec pour 51y jeudi). Résultat, un faible taux de completion (43%), aucun TD aérien et surtout 3 interceptions. Alors qu’ils étaient revenus à 3 points après le TD du RB Powell durant le 3ème QT, les Jets voient tout espoir de gagner ce match lors du 4ème QT. Voici les résultats de leur 4 possessions : 8 jeux, interception; 3 jeux et punt; 5 jeux, interception; 2 jeux, interception … Et voilà New England qui remporte son deuxième match de la saison, deuxième succés face à une équipe de l’AFC Est. Les Patriots n’impressionnent pas, mais gagnent, et c’est ça le plus important ! NE 13-10 NY. On commence les matchs du dimanche avec un choc entre Rams et Falcons. D’un côté, les Rams doivent confirmer leur victoire de W1 (vs. Cardinals), et d’un autre, les Falcons doivent se ressaisir après la défaite face aux Saints … Et ce sont les locaux qui démarrent pied au plancher ! QB Ryan trouve Jackson puis Jones dans la End-Zone, puis Umenyiora interceptera Bradford pour une remontée de 68 yards jusqu’au bout du terrain. Les Falcons mènent donc 21-0, et la suite du match n’est qu’une formalité. Ryan déroule à la passe, avec un beau 33/43 pour 374y et 2 TD, tandis que Bradford essaye tant bien que mal de remettre son attaque à flots (32/55 353y 3TD 1INT). Au sol, c’est plus compliqué… 19y pour Snelling,...
Des surprises, des confirmations, des doutes … bref, c’est la Week 1 !!
0 Like(s) Fini la présaison, les deuxièmes mi-temps entre « remplaçants », les starters en jogging après un quart-temps et demi … Maintenant, place à la guerre. 17 journées, 16 matchs par équipe pour obtenir le fameux sésame … une place pour les Play Offs ! Alors sans plus attendre, résumé de la première journée, qui s’est déroulée ce week – end ! Et on démarre avec un choc de titans, de prétendants aux play-offs, voir même au Super Bowl : le champion sortant contre l’armada de Denver, Ravens vs. Broncos ! Dès le début du match, on remarque que l’attaque des Ravens a du mal à se mettre en place, Flacco ayant perdu sa cible préférée, WR Boldin, parti à San Francisco. Avec un OL également remaniée, RB Rice ne trouve pas le rythme, et finira le match avec 12 courses, pour 36 yards. Côté défense, pas beaucoup de satisfactions non plus côté Baltimore : c’est la première fois depuis novembre 2005 qu’il n’y a ni Reed, ni Lewis sur le terrain, et ça se ressent ! QB Manning ne se fait pas prier, et enchaine les passes de TD : 2 pour J. Thomas, 2 pour D. Thomas, 2 pour W. Welker (transfert des Patriots) et une pour A. Caldwell … ce qui fait 7 ! Record NFL égalé ! Score assez large donc pour ce premier match, et victoire de Denver 49-27. Nous voilà donc dimanche soir, avec l’affrontement d’AFC Est entre Patriots et Bills. Côté Patriots, avec le départ de Welker, Amendola et Edelman deviennent les cibles principales de Brady. Côté Bills, on suivra sérieusement le rookie QB de Florida State EJ Manuel, qui a réalisé un match correct (18/27 150y 2TD), bien aidé par son duo de RB CJ Spiller et F. Jackson. Le sort du match sera tout de même laissé à S. Gostkowski, kicker des Patriots. Avec 2 FG dans le dernier QT, ce dernier donnera la victoire aux joueurs de New England, malgré un match très moyen pour des prétendants au titre final. En 20 confrontations, les Bills ne l’ont emporté qu’une seule fois face aux ennemis de l’AFC Est… score final : 23-21. Place à un affrontement de jeunes QB : Newton vs. Wilson, Panthers vs. Seahawks. Le premier retrouvera-t-il l’éclat de sa saison rookie ? Le second confirmera-t-il sa première saison ? Au final, pas grand-chose à se mettre sous la dent … un premier QT qui se finit à 0-0, des attaques qui n’arrivent pas à installer leur jeu, des QB en manque de réussite, on arrive à la mi-temps avec un 7-3 pour Carolina. Tout se jouera encore une fois dans le dernier QT, avec le réveil...
NFL is Back !!
0 Like(s) Et voilà, après un an et demi d’absence, me voilà de retour … Désolé pour l’attente, mais cette saison, c’est reparti de plus belle ! Chaque mardi, vous aurez le droit à un résumé des matchs qui viennent de se dérouler (jeudi, dimanche et lundi). Si vous voulez suivre de plus près mon activité (foot us et bien d’autres sports), rendez-vous sur Twitter : @etienneIX. Ensuite, que vous soyez néophytes, amateurs de foot us, ou grands fans, je proposerai une nouvelle rubrique : les questions-réponses. Envoyez moi toutes vos questions concernant la NFL, le football américain, les à-côtés, … bref, tout ce qui concerne de près ou de loin ce sport, et j’y répondrai dès que possible ! En ce qui concerne les règles et l’organisation de la saison, vous retrouverez mes explications dans les premiers articles du blog. Pour les questions, passez par les commentaires, ou alors via mon mail : etienne.caboche@facebook.com . Bonne saison à tous, et vive la NFL...
Super Bowl XLVI : Analyse.
0 Like(s) La grand-messe du football, c’est terminé ! Comme vous l’avez surement lu ou entendu dans certains médias, les New-York Giants ont battu les New-England Patriots au terme d’un match encore une fois spectaculaire ! Voici donc l’analyse de ces 60 minutes de football qui se sont déroulées à Indianapolis dans la nuit de dimanche à lundi. Dès l’entrée des joueurs sur le terrain, le ton est donné. Malgré une situation géographique du stade idéale (à égale distance des deux villes), les supporters sont clairement du côté des Giants ! Tirage au sort gagné par les Patriots, qui prennent soin de laisser la possession aux Giants. Et dès la première récupération de balle de New-England, voici la première surprise. Alors qu’il est dans sa End-Zone, Brady se débarrasse du ballon à cause d’une excellente pression du DL Tuck. Les arbitres n’hésitent pas une seule seconde : Intentional Grounding, Safety ! Giants 2-0. La suite de ce quart-temps reste à sens unique pour les Giants. Manning trouve toutes ses cibles favorites : Cruz (première réception d’ailleurs gratifiée du célèbre « Cruuuuuuuuuuuz » des supporters), Nicks, Ballard, Manningham et même Pascoe (TE backup). De plus, malgré une défense au top de sa forme, les Patriots enchaînent les erreurs, sûrement dues à la nervosité. Par exemple cette action débutée avec 12 joueurs sur le terrain. Pour finir, Manning trouvera Cruz dans la End-Zone. 9-0. Tom Brady se réveille enfin et conduit son équipe de la meilleure des façons. Cependant, sa OL semble en deçà de son niveau habituel et les pressions de Jason Pierre Paul et de l’intenable Tuck contraigne les Pats à se contenter du FG. 9-3. Après un Punt des new-yorkais, les pensionnaires de Fowborough commence leur drive sur leurs propres 4 yards. Et l’on voit enfin le « vrai » Tom Brady. Il trouve Hernandez, Gronkowski (que l’on voit clairement diminuée de sa blessure) et les WR vedette Welker et Branch. Pour finir, le QB finit par trouver RB Woodhead dans la End–Zone adverse : TD ! Les Patriots passent devant juste avant la mi temps : 10-9. La Mi-Temps comme si vous y étiez : Le Show de MADONNA : http://www.youtube.com/watch?v=ROkhklj0ZGs Et Tom Brady comment la seconde mi temps comme il avait finit la première. En battant le record total de yards lancés lors de tous les Super Bowl (ancien record de Kurt Warner) ainsi que le nombre de passes complétés de suite (16 contre 12 pour Joe Montana). Après ce drive de 80 yards, Brady revient aux bonnes vieilles habitudes : il trouve Hernandez dans la End-Zone et les Pats accentuent leur avance : 17-9. Pour la suite du match, les Giants progressent mais la défense Patriots...
Pour patienter jusqu’au Super Bowl, 6/6
0 Like(s) On dit toujours que pour réaliser un beau match, il faut deux bonnes équipes. Après la présentation des Patriots voici maintenant l’heure de vous présenter les Giants de New-York. Avant ce Super Bowl, tout le monde à bien sûr en tête celui de 2008, qui avait vu l’affrontement de ces deux équipes. Cependant, la donne n’est plus du tout la même ! Voici l’heure de vous présenter la meilleure équipe NFC de la saison, ou en tout cas celle qui a obtenu son billet pour la finale tant attendue. Comme pour les pensionnaires d’AFC, l’article sera articulé autour des sports présents à New-York, du parcours des G-men cette saison, et enfin des points forts et faibles de l’équipe. Dans quasiment chaque ligue majeure, la Grosse Pomme place deux équipes dans les toutes meilleurs équipes, présentation. En NFL tout d’abord, les Giants ne sont pas seuls. Et non, en AFC, New York héberge également les Jets. 1seule fois titrée au niveau national, il est certain que les Jets restent en retrait par rapport à leurs ennemis locaux. Détail intéressant, les deux équipes se partagent le même stade : le New Meadowlands Stadium. En hockey sur glace, deux équipes aussi sont présentes au sein de la ville : Rangers et Islanders se partagent le territoire. Bien que à égalité au niveau des titres, les Rangers restent les plus célèbres et appréciés, du fait de leur implication historique dans la NHL. Ils font en effet parti des 6 « équipes originales » que compte la league. En ce qui concerne la balle orange, ce sont Knicks et Nets qui se partagent le haut de l’affiche, même si les seconds sont domiciliés à Brooklyn depuis cette année (ex- New Jersey). Et finissons par l’équipe la plus célèbre de New-York : les Yankees et leur fameux logo NY, logo le plus copié et utilisé dans le merchandising vestimentaire ! Eux non plus ne sont pas seuls, mais accompagnés des Mets. Cependant, les 27 titres des Yankees, et leurs 111années d’existence, laissent les fans des Mets pantois, avec leurs 2 titres pour 51ans de présence. Mais les new-yorkais qui se ne passionnent pas pour les sports « traditionnels » ont encore le choix : les Red Bull NY pour le « soccer », les New York Liberty pour la NBA féminine et même les Dragons pour le football américain en salle (AFL-Arena Football League). Pour les Giants, le parcours a été loin d’être simple… souvenez-vous ! En remportant leur dernier match de saison régulière face aux Cowboys de Dallas, les Giants ont arrachés un ticket de Wild Card. En effet, les new-yorkais ont emporté la dernière place de qualification et la...
Pour patienter jusqu’au Super Bowl, 5/6
0 Like(s) C’est bien beau de parler de tout ce qu’il va se passer autour du match, les chiffres, etc… Mais revenons à l’essentiel, c’est à dire le match ! Pour l’avant-dernier article de cette série, présentation des pensionnaires de l’AFC, c’est à dire les Patriots de New England. Parcours de l’équipe, forces et faiblesses de l’attaque ainsi que de la défense, joueurs clés, et également à l’ambiance sportive de la ville de Boston, région où les Pats évoluent. Les Patriots, basés à Foxborough, Massachusetts, région de Boston, sont entourés d’une multitude de clubs de sports professionnels. En basketball bien sûr, les Boston Celtics font très bonne figure en NBA depuis 1946. Avec des joueurs comme Ray Allen, Kevin Garnett ou encore Paul Pierce, les Celtics essayent de tenir leur rang dans la ligue professionnelle de basket. Du côté de la petite balle blanche, en MLB, ce sont les Red Sox de Boston, et leur légendaires ennemis jurés des Yankees de New-York, qui animent le Fenway Park. Nous somme dans le nord des Etats-Unis, alors Boston possède sa franchise NHL : les Bruins. En remportant une sixième Coupe Stanley lors de la saison 2010-2011, les joueurs des Bruins font briller le hockey sur glace à Boston. Moins connus, Boston possède également son équipe de soccer, les New-England Revolution, ainsi que son équipe de Lacrosse (sport typiquement américain, que je présenterai peut être durant la off-season NFL) : les Cannons de Boston. De plus, cette région est fournie en universités diverses : Harvard Crimson, Boston College Eagles, Boston University Terriers et aussi Northeastern Huskies. Autant dire que les Patriots ne sont pas seuls dans cette grande mégapole du nord est des Etats-Unis. Les Patriots au Super Bowl, d’accord. Mais comment en sont-ils arrivés là ? Défaits par les Bills (W3), les Steelers (W8), les Giants (W9) et … c’est tout ! 3 défaites pour 16 victoires en saison régulière, la première place de l’AFC East gagnée haut la main, en distançant Jets et Bills, et les Patriots s’offrent le luxe de finir seed #1 de l’AFC. Wild Card exempte donc pour les joueurs de New-England, ils retrouvent les Broncos, fraîchement vainqueurs des Steelers, lors du Divisional Round. A domicile, sans trembler, les Patriots écrasent littéralement Tebow et cie 45-10. Nous sommes déjà au choc du Conference Championship, et ce sont les Ravens de Baltimore qui se présentent. Une attaque flamboyant face à une des meilleures défenses, voici l’affiche. Et encore une fois, Brady & co. passent au dessus de cet obstacle en l’emportant 23-20, et prennent rendez-vous pour le Super Bowl. L’attaque des Patriots, emmenée par QB Brady, a été l’une...
Pour patienter jusqu’au Super Bowl, 4/6
0 Like(s) Au fil des mes preview et analyses, vous vous êtes surement rendu compte que les américains adoraient les statistiques en tout genre ! Pour continuer cette série « Pour patienter jusqu’au Super Bowl », voilà un article sur les chiffres gravitant autour de cet évènement. Certains vont vous faire sourire, d’autre vous faire réfléchir. Alors bonne lecture, et ne réfléchissez pas trop ! 1 – C’est la première fois qu’Indianapolis reçoit cet évènement. Il faut dire qu’avant la création de stades fermés, les organisateurs préféraient choisir des villes plus « chaudes » afin de ne pas gâcher le spectacle. 3- Nombre de titres de MVP remportés par Joe Montana (49ers – QB), record national. 5 – Nombre d’équipes ayant 100% de réussit au Super Bowl : 49ers (5victoires en 5 matchs), Buccaneers, Saints, Jets et Ravens (1/1). 6:30 p.m. – Heure du coup d’envoi de tous les Super Bowl (EST-Eastern Time). Indianapolis étant dans ce fuseau horaire, pas de changement. Il sera alors 00h30 en France 8 – Nombre de participations pour les Steelers de Pittsbrgh et les Cowboys de Dallas. Les Steelers détiennent le record de victoire avec 6. 21 – Nombre de victoires au Super Bowl pour des équipes de l’AFC. 24 – Nombre de victoires au Super Bowl pour les équipes de la NFC. 46 – Cette année, c’est la 46ème finale nationale, mais le 42ème match portant le nom de Super Bowl. 60- Exit le format historique des 30 secondes, cette année certaines publicités dureront 1minute. Pour nous français, il faudra patienter pour admirer ces petits bijoux, souvent utilisés comme exemples dans les écoles de journalisme publicitaire. 140 – En dollars, le prix pour obtenir la balle officielle du Super Bowl XLVI, commercialisée par Wilson. 1 000 – Nombre de balles disponibles à la vente, dépêchez-vous si vous souhaitez garder un « collectible » de ce Super Bowl ! 2008 – Année du dernier Super Bowl des Patriots … et des Giants également ! Pour mémoire, victoire des G-men 17-14. 14 500 – nombre de kilogrammes de chips dévorés durant la finale aux USA. 291 900 – Nombre de téléspectateurs ayant suivi le dernier Super Bowl sur W9. Il faut y ajouter les personnes ayant choisi ESPN America pour avoir le nombre total de français ayant résisté à l’appel du lit. 3 500 000 – En dollars, coût de 30 secondes de spot publicitaire. 49 000 000 – Nombre de canettes de bière ingurgitées durant la finale aux USA. 111 000 000 – Nombre de téléspectateurs pour le Super Bowl 45, et les médias en annoncent encore plus cette année. 1 000 000 000 – Nombre de personnes ayant théoriquement accès à la retransmission télévisée...
Pour patienter jusqu’au Super Bowl, 3/6
1 Like(s) Avant de passer aux présentations des équipes, attardons-nous sur ce qui se passe autour de ce match. Vous ne croyez quand même pas qu’en déboursant $2,000 les fans se contentent que d’un match ? Vous allez donc voir qu’autour de ce match de football, bon nombre d’évènements sont organisés. Un peu dans le style d’un départ d’étape du Tour de France, un village est installé autour de l’évènement sportif à proprement parler… mais attendez un peu, ici c’est les States, donc tout se fait en plus grand ! Ouverture du village du Super Bowl dès le 27 janvier, avec des stands de merchandising, de nourriture (of course), une tyrolienne géante, des jeux pour enfants, et deux concerts en soirée (Max Allen Band et Bret Michaels) Le lendemain, le samedi 28 donc, toujours les même divertissements, avec cependant bien plus de concert. De 12h30 à 22h45 se succéderont sur la scène 6 différents groupes. Ensuite, du dimanche 29 au dimanche 5 (jour de match), de nombreux groupes (4 par jour environ) se succéderont sur la scène du village, au milieu des divertissements et stands. Comme le veut la tradition américaine, chaque rencontre est précédée de l’hymne national The Star Splanged Banner. Cependant, avant le Super Bowl, une simple fanfare ne suffit plus. Alors voici la liste des différents chanteurs qui se sont succédés avant le match. L’année dernière, Christina Aguilera a fait couler de l’encre en se trompant dans les paroles. Avant elle, les divas Mariah Carey, Aretha Franklin, Whitney Houston ou Beyoncé s’étaient déjà présentés devant le micro. Cette année, c’est la chanteuse pop-rock américain Kelly Clarkson qui devra faire chanter les 70 000 personnes présentes en ce dimanche 5 février. Une fois la première mi-temps du match achevée, il est temps de passer au Bridgestone Half-Time Show ! Cette année, c’est Madona qui orchestrera ce spectacle, mais je suis certain que vous avez déjà entendu parler de ce concert hors du commun dans le passé … L’année dernière, ce sont les Black Eyed Peas qui sont montés sur scène au beau milieu du Cowboys Stadium, accompagnés de Slash (soliste de Gun’n’Roses) et de Usher pour certains titres. Par contre, les chorégraphies millimétrées sur le field ont un peu fait oublier la justesse de certaines phrases musicales. En remontant dans le passé, on retrouve l’épique duo composé de Janet Jackson et Justin Timberlake, qui a alimenté les pages people de différents magazines …. Souvenez-vous de ce malheureux geste du beau Justin … En vrac, se sont succédés au cours des différentes années Bruce Springsteen, The Who, les Rolling Stones, Paul McCartney, Prince et même le regretté Michael Jackson en...
Pour patienter jusqu’au Super Bowl, 2/6
0 Like(s) Après une présentation des sponsors qui permettent la bonne tenue de cet évènement, passons à quelque chose de plus concret. En France, pour le « soccer » (désolé messieurs les fans du ballons rond), toutes les finales se déroulent au Stade de France (il faut dire que niveau kilométrique, la France c’est pas les USA). Alors outre-Atlantique, on a décidé de tourner. Chaque année, le super bowl change d’état, de ville et donc de stade. L’année dernière, on a eu le droit à un petit tour à Arlington, Texas, dans le stade flambant neuf des Cowboys de Dallas. Cette année, direction le nord et le Lucas Oil Stadium d’Indianapolis. Présentation. C’est donc dans la capitale de l’Indiana que se déroulera la grand-messe annuelle des fans de football. Il s’agit la de la 12ème agglomération du pays, autant dire qu’on verra plus de riverains que l’an passé, et le stade un peu au milieu du désert texans ! Pour ce qui est de la température aussi ça change… en février, -1.3°C de moyenne ! Heureusement, comme l’an passé, c’est sous un toit que se déroulera le Super Bowl, histoire de ne pas gâcher le plus bel évènement de l’année ! Côté sport, la ville n’est pas en reste non plus ! Connue principalement pour sa course d’IndyCar des 500 miles d’Indi, la ville se distingue également par l’Allstate 400 at the Brickyard, course de NASCAR. Entre les années 2000 et 2007, un GP de F1 avait également lieu sur une partie du fameux anneau, remplacé en 2008 par un GP de moto-GP. En ce qui concerne les sports collectifs, le Conseco Fieldhouse accueille les Pacers d’Indiana, franchise renommée de la NBA. Et vous vous doutez bien que si Indianapolis héberge le Super Bowl, c’est qu’il y a une franchise NFL pas loin ! En effet, ce sont les Colts (malheureux 1st round de la prochaine Draft) qui reçoivent dans ce Lucas Oil Stadium toute l’année. Intéressons-nous aux supporters des Giants et des Patriots. Les fans de New-England devront parcourir 1280km pour se rendre à Indianapolis, tandis que ceux de New-York devront en faire 1140. Le Lucas Oil Stadium : Sorti de terre en 2005, il sera inauguré le 16 août 2008, et les Colts y joueront leur premier match le 7 septembre de la même année. Baptisé à la base Indiana Stadium, c’est la compagnie de pétrole Lucas Oil qui rachètera les droits d’appellation en 2006 pour 120 millions de dollars pour 20 ans. Le stade peut également servir à des tournois de basket universitaires, notamment le Final-Four NCAA en 2010. Il accueille aussi le fameux Scouting Combine au mois d’avril...
Pour patienter jusqu’au Super Bowl, 1/6
0 Like(s) Voilà, les finales de conférences se sont terminées, nous arrivons maintenant au Saint Graal. Plus que quelques jours à patienter avant de rester scotché à la télé pendant quelques heures. C’est pour ça que j’ai décidé de sortir des habituels « preview », et, pour cet évènement hors du commun, de vous présenter une série d’articles dont le but étant de vous faire patienter avant le Super Bowl … ou alors de vous faire saliver encore plus !! Premier article aujourd’hui donc, avec les différents sponsors gravitant autour du Super Bowl. Comme vous pouvez vous en douter, un tel évènement doit être soutenu par la pub pour exister, le but de ce papier étant de vous citer les différents sponsors. Pour planter le décor, vous avez surement entendu du milliard de téléspectateur regardant le super bowl chaque année … Ce chiffre n’est en réalité qu’un mythe ! Il s’agit du nombre de personnes pouvant potentiellement avoir accès à une diffusion du match. C’est très simple. En France, le match est diffusé sur W9 en direct, donc de manière tout à fait gratuite. Il y a donc 65 millions de téléspectateurs potentiels, mais, en réalité, (seulement) un demi-million (au mieux) de personnes seront devant leur petit écran. En ce qui concerne la diffusion télévisée outre-atlantique, les 3 grosses chaines se partagent le gâteau en proposant le match à tour de rôle. L’an dernier, les américains ont pu apprécier la victoire des Packers sur Fox. Cette année, ils devront regarder l’affrontement entre les Giants et les Patriots sur NBC, et devront patienter une année de plus pour le voir sur CBS. Pour les autres sponsors, ils proposent chacun un « évènement » se déroulant durant le super bowl. Chevrolet présente le Super Bowl 46 dans son ensemble. KFC Hot Wings voit son nom associé au compte à rebours avant le coup d’envoi, situé sur le site officiel de la NFL. Bridgestone est sponsor principal du show ayant lieu durant la mi-temps (voir prochain article…). Pepsi & Co propose aux fans une série de concert afin de patienter durant cette semaine pré-super bowl. Toujours question de sous, il faut savoir qu’en 1990, les économistes Krueger et Kennedy ont démontré que le résultat du Super Bowl influait sur l’état de la bourse de New York City. En effet, si c’est une équipe de NFC qui remporte le titre, la bourse augmente dès le premier jour ouvré suivant la rencontre. Au contraire, si une équipe d’AFC emporte le match, la bourse sera en baisse. Cependant, l’issue du match n’a aucune influence économique globale. D’après de récentes études, le Super Bowl serait vu par 100 millions de personnes...
Conference Championship – Analyse
0 Like(s) Cette fois ci, c’est la bonne ! Tous les matchs de la saison NFL sont terminés … Il ne reste plus que le Super Bowl dans 2 semaines. En attendant, voici les analyses des deux matchs de la nuit : Ravens @Patriots pour l’AFC Championship et Giants @49ers pour le NFC Championship. Comme prévu, deux match très serrés, qui se sont joués sur un détail, mais c’est le prix à payer pour atteindre la finale nationale. Sans plus attendre, l’analyse des Conference Championship game. Ravens @Patriots : Une défense impressionnante … mais laquelle ? J’avais annoncé, lors du preview, un choc entre l’attaque de QB Brady et l’armada défensive des Suggs, Ngata, Reed et autre Levis. Mais ce dimanche, c’est un tout autre combat qui a eu lieu. La défense de New-England a su faire parler son expérience. Comme durant tout la saison régulière, elle a encaissé pas mal de yards. 306 dans les airs et 116 au sol. Mais, comme d’habitude, elle a forcé des turnovers au bon moment. Une interception de Spikes, un 4th down stoppé dans le 4ème QT, et en plus de cela 3 sacks sur QB Flacco. Une autre stat impressionnante vient du jeu au sol. On savait que QB Flacco n’allait pas faire le match à lui tout seul, et tout le monde s’était penché sur le cas Ray Rice. Résultat : 21 courses pour (seulement) 67yards. On peut dire que la défense Patriots a frappé un grand coup en laissant le RB star des Ravens sous les 100yards ! Et donc, pour maintenir Baltimore a flot, c’est Flacco qui a sorti une partie correcte, en complétant 22 de ses 36 lancés pour 306yards, 2TD (pour Pitta et Smith), mais -malheureusement pour lui- une interception au plus mauvais moment. Vous l’aurez donc compris, c’est la défense des Patriots qui a fait le job tonight, mais qu’a fait l’attaque ? QB Brady face à une top-défense, ça donne quoi ? Et bien … le QB Patriots a été dans le dur ce soir, en lançant notamment deux interceptions (Webb et J. Smith), et en inscrivant aucun TD à la passe. Mais en gagnant tout de même 239yards dans les airs, il a su placer son jeu au sol dans de bonnes conditions. Résultat, la défense de Baltimore encaisse 2 TD au sol, par Woodhead et Brady himself. Même en maintenant le jeu aérien si réputé des Patriots sous les 300yards, les Ravens n’ont pas trouvé la solution pour faire inscrire moins de points aux Patriots. Mais le tournant du match vient du célèbre kicker Cundiff, qui n’a pas fini de se mordre les...
Preview – Conference Championship
0 Like(s) La saison NFL touche déjà à sa fin (ooooooh…). Et oui, plus que 3 « vrais » matchs (je ne compte pas le Pro-Bowl, match d’exhibition). Ce dimanche donc, deux matchs aux programmes, et non des moindres bien sûr ! Les deux finales de conférence. Du côté de l’AFC, les Ravens de Baltimore se déplacent chez les Patriots de la New-England dimanche à 21h00. Côté NFC, ce sont les 49ers de San Francisco qui accueillent les Giants de New York lundi à 00h30. Voici donc les joueurs à suivre, et les points forts et faibles de chaque équipe. AFC : Ravens @Patriots : Défense vs. Attaque. Gros duel en vu donc, du côté de Boston. Baltimore n’avait qu’une chance de se déplacer pour le Conference Championship, et c’est le cas ! Les Ravens devront se déplacer chez les Patriots. Autant dire que cette tache s’annonce très compliquée. Les visiteurs pourront bien entendu s’appuyer sur leur légendaire défense. Suggs, Ngata, Reed, Lewis …autant de noms qui font froid dans le dos quand on est QB ou receveur de l’équipe adversaire. En encaissant en moyenne 17 points par match, cette défense se place 3ème au niveau NFL. De plus, elle possède l’excellente statistique de laisser moins de 100y à la course (92) à ses adversaires. Autant dire que la clé de la défense résidera dans l’aptitude qu’auront les LBs à s’adapter à l’excellent bras de QB Tom Brady, ainsi qu’à la couverture, non habituelle, des deux TE stars Hernandez et Gronkowski. Penchons-nous maintenant sur l’attaque des Patriots. Il y a bien sûr QB Brady, cumulant plus de 5000y sur sa saison, et ses cibles nombreuses Gronkowski (17TD), Welker (1500y de réception), ou encore Branch et Hernandez, qui savent catcher les balles importantes. Vous aurez vite compris que cette attaque repose essentiellement sur son jeu aérien, même si WR Green-Ellis sait réaliser des courses primordiales au bon fonctionnement de l’attaque. La balle est donc dans le camp de Brady, qui aura fort à faire face à une telle défense. Nous verrons alors la capacité d’adaptation de ce QB, si à l’aise lors des matchs de saison régulière. Cependant, il ne parait pas aidé par son armada défensive. Avant-dernière au nombre de yards encaissés, et 15ème en terme de points, il faudra resserrer les rangs si l’équipe veut voir Indianapolis cette année. Mais en tenant bien l’attaque des Broncos lors du Divisional Round, les défenseurs Patriots ont montré à toute la NFL qu’ils savaient être présents dans les grands moments ! Surtout qu’en face d’eux, ils n’ont pas la meilleure attaque de la NFL. Menés par QB Flacco, les Ravens ont beaucoup de mal à...