Hamilton, dans un fauteuil
Une fois n’est pas coutume, Lewis Hamilton remporte haut la main son 8eme grand prix de la saison. Il égale ainsi le record de son pilote favori j’ai nommé Ayrton Senna au nombre de victoire dans sa carrière, soit 41 victoires déjà. Le britannique ne va certainement pas s’arrêter en si bon chemin et si Mercedes continue à dominer la F1 moderne, alors Hamilton pourra se lancer à l’assaut du nombre de record de titres de Schumacher.
C’est avec une certaine appréhension que ce week-end a débuté pour l’equipe allemande. Il faut se rappeler de leur contre performance lors du dernier Grand prix où ils se sont fait dominer de la tête et des épaules par Ferrari. C’était donc bien un incident de parcours. Le tracé de Singapour ne convenait visiblement tout simplement pas à la Mercedes, même si les raisons n’ont jamais été trouvé réellement, une histoire de pneu parait-il.
Rosberg s’incline à nouveau
Nico ne cesse de se faire dominer course après course par son coéquipier. Et pour ceux qui en doutaient encore, c’est maintenant très clair que Lewis est un niveau au-dessus de Rosberg. Il suffit pour s’en convaincre de voir les écarts à l’arrivée et même durant toute la course. A chaque course dorénavant, Lewis inflige une vingtaine de secondes d’avance sur Rosberg. La note est salée, très salée pour Nico qui, tant que Lewis sera présent chez Mercedes, ne pourra jamais remporter son titre. Un peu comme Felipe Massa chez Ferrari qui n’avait jamais pu devenir champion à cause de la présence de Schumacher chez les rouges.
D’autant que chez Mercedes, il n’y a pas de consignes, ni préférences, les pilotes sont libres de se battre. Rosbger n’a aucune excuse. Il dispose de la meme monoplace que Hamilton et pourtant il n’y arrive pas. Aujourd’hui, il se fait avoir dès le départ. Trop de fébrilité chez Nico par rapport à Lewis qui est serein comme jamais. On l’a en effet rarement vu aussi détendu que cette saison. Lewis sent que rien ne peut lui résister. Pendant que Rosberg trime, Lewis lui, côtoie la Jetset. C’est injuste mais c’est ainsi. Le britannique n’a pas besoin de forcer le talent, il est surdoué. C’est un attaquant pur au mental d’acier.
Hamilton se dirige donc tout droit vers son 3eme titre puisqu’il accroit encore un peu plus son avance au championnat du monde. Il reste 5 courses à disputer. Mathématiquement, tout reste encore possible pour Rosberg, il faudrait pour cela un coup du sort, avec au moins deux abandons de Lewis Hamilton en course. Autant dire qu’i lva devoir prier très fort.