Anelka : Que risque t-il ?
0 Like(s) Le 28 décembre dernier lors du match contre West Ham, Nicolas Anelka célèbre son but en faisait une « quenelle », soit le geste inventé par l’humoriste Dieudonné. Geste à caractère antisémiste pour les uns, anti-système pour les autres. Extrait du communiqué. Anelka : Les faits « A la 40ème minute de jeu, Anelka a fait un geste qui était abusif et/ou indécent et/ou insultant et/ou déplacé, contraire à l’article E3 du règlement de la FA, peut-on lire dans un communiqué publié sur le site de la FA. Les faits sont aggravés par les références à l’origine d’une éthnie et/ou d’une race et/ou d’une religion, comme le définit l’article E2 du règlement. » Ce qu’il risque Nicolas Anelka aurait jusqu’à Jeudi 18h pour répondre à cette accusation. Le joueur pourrait écoper de minimum 5 matchs de suspension précise la FA. De plus, le sponsor du club Zoopla ont annoncés qu’ils ne renouvelleront pas le partenariat avec le club suite au geste déplacé du joueur. Anelka a récemment assumé son geste en expliquant que son geste était un « soutien » a son ami Dieudonné. Affaire a...
Kévin De Bruyne quitte Chelsea pour la Bundesliga
0 Like(s) Le joueur natif de Tronchiennes en Belgique quitte Londres pour retourner jouer en Allemagne et plus précisément à Wolfsburg. Portrait du talent belge. À 6 ans, Kévin joue dans le club de sa ville, le KVV Tronchiennes, qu’il quitta 2 ans plus tard en 1999 pour rejoindre le centre de formation de La Gantoise avec qui il montra son talent jusqu’en 2005 ou il quitta le club pour signer à Genk. Après 3 ans au centre de formation de Genk, il y signa son premier contrat pro. Il effectua son 1er match professionnel en tant qu’attaquant. Avec ce même Genk, il gagna un titre de champion et une supercoupe de Belgique en 2011. Tous les plus grands clubs européens se renseignèrent sur le joueur. C’est en 2012 que le joueur signe à Chelsea. Ce même Chelsea qui le re-prête aussitôt a Genk pour la saison. Lors de la saison 2012-2013, Chelsea prête De Bruyne au Werder de Brême avec qui il devient l’un des meilleurs joueurs de la Bundesliga. Il y effectue une très grosse saison avec beaucoup de temps de jeu et beaucoup de passes décisives. A son retour à Chelsea, Kevin joue quelques matchs de pré-saison mais ne figure pas dans les plans de Mourinho. Il y a déjà beaucoup de joueurs jouant à son poste. C’est à Wolfsburg qu’il y signe en janvier 2014. Il pourra ainsi avoir du temps de jeu et briller en...
PSG-FCN : Le PSG assomme Nantes
0 Like(s) PSG-FCN Le PSG accueille ce dimanche le Fc Nantes 6ème de Ligue 1. Au match aller, le PSG est allé gagner 2-1 sur la pelouse de la Beaujoire a Nantes. Cette fois, le Fc Nantes ne pourra pas être pousser comme à son habitude par la « Brigade Loire » qui ne se déplaceront pas pour ce match, jugeant le prix des places « trop élevées ». Le PSG jouera sans Rabiot blessé. Côté nantais, Bessat suite à une douleur cette semaine ne sera pas sur la feuille de match. Résumé du match. 1ère période Les deux équipes s’observent en ce début de match. 10ème minute de jeu, Cavani reprend de la tête au premier poteau un corner que Riou repousse sur Thiago Silva qui catapulte le ballon au fond des filets 1-0. L’intensité du match baisse jusqu’à la 35ème minute sur une faute peu évidente de Chaker Alhadhur sur Verratti que l’arbitre désigne le point de pénalty. Ibrahimovic prend a contre pied Riou 2-0. Lavezzi aurait pu marquer la balle du 3-0 mais de peu a côté. 2ème période Le PSG repart sur le même rythme. 51ème minute , centre venu de la droite de Van der Wiel qui atterrit sur la tête de Matuidi qui remet pour Motta qui crucifie Riou du pied gauche 3-0. Le PSG est en feu. 58ème minute, Ibrahimovic part en contre et passe à Cavani au bon moment, qui marque dans le but vide 4-0. Ibrahimovic pour le 5-0, Matuidi joue avec Pastore sur le côté gauche, ensuite le ballon de Pastore est contré mais le ballon revient sur Ibrahimovic qui marque malgré le pressing de 3 nantais. Encore un match exceptionnel du PSG. C’est dommage pour le Fc Nantes qui méritait peut-être mieux. Buts pour le PSG : 10′ Thiago Silva, 36′ Ibrahimovic (sp), 51′ Motta, 58′ Cavani, 64′...
NFL Conference Championships : Analyses
0 Like(s) Au programme hier soir, les deux finales de Conference, opposant d’une part les Broncos aux Patriots (AFC) et d’autre part les Seahawks aux 49ers (NFC). Sans plus tarder, voici résumés et analyses de cette folle soirée de football ! New England Patriots @Denver Broncos : Comme cela avait été annoncé, la clé principale du match était la capacité d’adaptation et de performance de la défense des Patriots face à QB Peyton Manning, et l’attaque si performante des Broncos. La réponse n’a pas tardé à arriver. Le premier drive, conclu par un punt rapide, a été le seul n’ayant pas apporté de points aux locaux. Ensuite, le QB multi-recordman a déroulé son jeu « habituel » : 32 passes complétées pour 43 tentés, 400 yards lancés « tout ronds » et surtout 2 TD pour aucun turnover : du grand Manning. La blessure de CB Aqib Talib (côtes) a forcément joué un rôle dans la contre-performance de la secondary des Patriots, mais les receveurs de Denver ont eu le champ libre : 134y (et 1TD) pour l’inévitable WR Demaryius Thomas, mais aussi 85y pour son homonyme TE Julius Thomas, sans oublier Decker, Welker ou Tamme (73, 38 et 24y et TD). Au sol, RB Moreno s’est « contenté » de finir le travail en cumulant 59y, et en laissant 43 à Ball. Soulignons l’excellent travail de la OL, qui a permit à Manning d’être serein : il n’a jamais été touché par un défenseur. Cette non performance du front 7 des Patriots peut avoir plusieurs explications : la première vient, bien entendu, du fait que Denver a l’une des meilleures OL (si ce n’est la meilleure) de la league. L’autre vient de la stratégie utilisée en défense : pour contrer au mieux le jeu de passes, la défense évoluait en man-to-man (marquage individuel) et ne laissait que 3 DL mettre la pression sur … 5 OL (au minimum, avec parfois un TE ou un RB en protection). FS McCourty, OLB Hightower et OLB Collins se partagent le « classement » des plaquages (9, 7 et 6) mais les stats défensives sont inexistantes : aucun sack, aucune interception, aucun fumble forcé, 27 first downs encaissés, et 35′ 44″ sur la pelouse, ce qui ne laisse que 24′ 16″ à Brady pour installer son jeu … Penchons-nous à présent sur l’attaque des Patriots ce soir. Pendant 3 QT, ce sont les défenseurs de Denver qui ont pris le pas : un seul FG inscrit par Gostkowski (47y), des receveurs à la peine, et un jeu au sol quasi-inexistant avec RB Vereen et RB Ridley. Au contraire de New-England, Denver a su mettre la pression sur le QB adverse, avec un front 7 conquérants, et notamment 2 sacks de DE Ayers et DT Knighton (sur une 4ème tentative). Bref, Brady ne parvenait pas à installer son jeu, et les excellentes couvertures de CB Tony Carter et CB Dominique Rodgers-Cromartie y étaient surement pour quelque chose....
Quelles équipes Françaises est la plus armée en HCUP ?
0 Like(s) La HCUP est la compétition la plus relevée dans le monde du rugby. Réunissant les effectifs Françaises, Italiennes, écossaises, Galloise, Irlandaise et celle du Nord. Les équipes françaises prêtes pour l’HCUP En quart de finale nous aurons trois équipes, trois équipes Françaises capables d’aller jusqu’au bout et remporter la compétition, voici le banc des postulants : – Stade Toulousain : On peut dire que cette année le Stade Toulousain a lavé l’affront de leur élimination de la saison dernière. Qualifiés pour les ¼ de finale, les Toulousains brassent le chaud comme le froid. Le chaud, c’est leur succès d’un point face à Saracens 16-17 à Wembley, un succès incroyable ce jour-là. Le froid, c’est leur défaite surprise à domicile face à Connacht 14 à 16. Au contraire du championnat, Toulouse a gagné tous ses matchs à l’extérieur en coupe d’Europe, c’est un élément qui ne faut surtout pas oublier. Autre élément qu’il ne faut pas oublier Toulouse est capable de passer à côté d’un match à leur porté. Ce sont des éléments qui peuvent faire la différence. – ASM Clermont-Auvergne Les Auvergnats sont aussi favoris au sacre Européen. L’année dernière, pour une erreur, Clermont n’avait pas remporté la HCUP face à Toulon. Les Auvergnats semblent avoir appris de leurs erreurs qualifiées après un succès héroïque face au Harlequins. Clermont peut se faire cueillir à froid face au Racing-Metro. Leur grand avantage est la forteresse Marcel-Michelin, invaincu depuis un fort moment, d’où l’importance d’un quart de finale à domicile. Autre avantage, les Auvergnats semblent savoir voyager à l’extérieur, avec par exemple une double victoire face au Leinster la saison dernière. – RCT Toulon Le Barça du rugby, voilà ce qu’est le RCT. Champion d’Europe en titre, Toulon s’est sorti d’un groupe qui aurait pu paraître piège, et au final Toulon sera en quart de finale de la HCUP cette saison. Il n’y a presque rien qui peut arrêter les Varois à leur propre succession. Seul un duel face à une gigantesque équipe (contre le Leinster par exemple) pourrait faire vaciller l’équipe du RCT. En conclusion, la HCUP peut réserver des surprises mais le rugby de l’hémisphère Nord est de plus en plus relevé. Dire qu’un club aujourd’hui est favori se serait exagéré. On peut se rendre compte que chaque équipe en HCUP peut être favorite et c’est vraiment cela qui est important. Le suspense demeure...
NFL Conference Championships – Preview
0 Like(s) A deux jours des finales de Conference, il est temps de faire un état des lieux sur les forces et faiblesses en présence de chaque équipe, afin de vous présenter au mieux c’est deux affiches : Patriots vs. Broncos et 49ers vs. Seahawks. Après la présentation des QB hier, et ce preview aujourd’hui, vous aurez toutes les cartes en main pour apprécier les deux matchs qui se dérouleront dans la nuit de dimanche à lundi ! New England Patriots vs. Denver Broncos (21h00, heure française) : En cas de victoire dimanche, les Patriots deviendraient la franchise la plus titrée en AFC, à égalité avec les Steelers, avec un huitième titre. Mais le principal n’est pas forcément là. Privés de Super Bowl depuis 1999, les Broncos auront à coeur de faire bonne figure, après une saison régulière encore une fois impressionnante. En attaque, la machine Denver est en forme, c’est un fait. Comme annoncé hier dans l’article sur les QB, Manning est au sommet de son art, et compte bien se retrouver au MetLife Stadium début février ! Meilleur attaque en terme de points inscrits, de yards gagnés et de yards gagnés à la passe, le seul point faible de Denver est le jeu au sol. Point faible ? Avec RBs Moreno et Ball, on ne peut pas parler de point faible. Dans l’ombre du QB tellement efficace, les deux coureurs se contente de « faire le job » et de gagner des yards importants. Avec Welker, Decker, Demaryius et Julius Thomas comme cibles principales, il faut dire que Manning n’a que l’embarras du choix ! Cette saison, aucune équipe n’a encaissé moins de 20 points face à l’ogre Denver : la « meilleur défense » a été San Diego durant la saison régulière, lors de la week 15 et la victoire 27-20. Vous doutez encore de leur efficacité ? Sur les 16 matchs de saison régulière, 13 se sont terminés avec plus de 30 points au compteur. What else ? Ok, je continue : 27 first downs de moyenne (en comparaison, les Chiefs sont à 20 de moyenne….) et 4.75 TD par match, c’est plutôt performant. En défense, les Broncos ne sont pas à plaindre, loin de là ! Très efficace face à la course, un peu moins face à la passe, les défenseurs de Denver savent être efficaces. Une moyenne de 2.5 sacks par match, dont 10 sur la saison pour DE Shaun Phillips, mais également un impressionnant total de 129 plaquages pour OLD Danny Trevathan, suffisent généralement (13 fois sur 16 cette saison) à l’attaque pour marquer plus de points que les adversaires. Bien qu’orphelins de LB Von Miller (blessure au genou, indisponible 6 mois minimum), les coéquipiers de l’expérimenté CB Dominique Rodgers-Cromartie n’ont pas grand chose à envier à la défense des Patriots … Dont’a Hightower, Aqab Talib, Jerod...
NFL – Conference Championships : les 4 (QB) fantastiques
0 Like(s) La saison NFL touche à sa fin, mais il reste encore 3 matchs : deux finales de Conference, et le Super Bowl. En attendant les deux matchs de dimanche soir, je vous propose un nouvel article portant sur les joueurs les plus mis en lumière, les plus suivis de la NFL : les Quarterback. Véritable pièce maîtresse de l’attaque, et souvent « star » de l’équipe, je vais vous présenter les 4 QB encore en lice pour obtenir une bague de champion cette saison. Ne sachant pas dans quel ordre les traiter, et ne voulant faire aucun classement, j’ai simplement suivi l’ordre alphabétique : Brady, Kaepernick, Manning, Wilson. Tom Brady : On ne peut le nier, Tom Brady est un QB d’exception, dans une équipe qui a su parfaitement s’adapter à son système. A 36 ans, le plus célèbre des joueurs NFL n’a plus raté les Playoffs depuis 2002 – seule saison durant laquelle il n’a pas réussi à emmener sa franchise en post-saison. Malgré 3 Super Bowl gagnés à son actif (2002, 2004, 2005) et 9 sélections au Pro Bowl, le QB a encore soif de victoires. Bien que sélectionné en 199ème position à la Draft (Tour 6, Draft 2000), le double MVP du Super Bowl est considéré comme le QB ayant la mécanique la plus proche de la perfection : les statisticiens parlent d’un temps de 33 centièmes entre le moment où le bras commence à monter, et le moment où il lâche la balle. Bien que n’aimant pas porter la balle, Brady a été beaucoup atteint par les défenses adverses. Avec 40 sacks au compteur, et un OL pas toujours fiable, le QB a un taux de completion de 60.5%, son plus bas taux depuis 2002. Colin Kaepernick : Après des débuts compliqué en NFL, le QB natif de Milwaukee s’affirme enfin comme véritable franchise QB. Après une première saison où il avait lancé 35 yards (en 3 apparitions), Kaepernick a pris les reines des 49ers l’année dernière, après la blessure d’Alex Smith (actuellement chez les Chiefs), pour les emmener au Super Bowl. Très bon passeur, le jeune QB a également cette capacité à sortir de sa poche pour aller chercher des yards au sol, et représente ainsi une menace supplémentaire. Cependant, ce profil a souvent fait craindre les franchises NFL, qui ont tardé à le sélectionner à la Draft (36ème choix, 2ème tour, 6ème QB). Bien que très jeune, Kaepernick a déjà accumulé énormément d’expérience : remplaçant puis titulaire en université, il a su imposer sa façon de jouer à San Francisco pour devenir inconditionnel, et le Super Bowl perdu de 3 points seulement lui sera forcément bénéfique....
FC Nantes – OGC Nice : Renversants Canaris
0 Like(s) Retour sur un énième Nantes-Nice. Cette fois c’est en quart de finale de coupe de la ligue que les deux clubs s’affrontent. Les Nantais jouent sans Djilobodji suspendu pour ce match, côté niçois Eysseric blessé ne joue pas, il est remplacé par Brüls. Première période Début de match dominé par les Nantais avec un très bon Cissokho qui apporte de bonnes solutions offensives, suite à une main de Cichero en dehors de la surface nantaise, Didier Digard marque sur coup franc, ce but assomma les Nantais. Timide réveil du FCN en fin de première période mais en vain. Deuxième période Début de la seconde période sur une grande intensité, à la 48ème Djordjevic égalisé sur une frappe de Gakpé qu’il effleure. Serge Gakpé toujours qui offre à Djordjevic un doublé, lui qui n’avait plus marqué depuis le 10 novembre. 72ème minute, Kolodziejak égalise de la tête sur un centre venu de la droite de Brüls 2-2. Adrien Trébel centre pour Vizcarrondo qui était resté dans la surface et qui reprend de la tête pour redonner l’avantage au Fc Nantes. Quelques minutes plus tard, mauvais tacle de Cichero que Bautheac reprend et tire sur Riou qui repousse sur Cvitanitch pour son premier ballon qui pousse le ballon au fond des filets: 3-3. Dans la foulée, Gakpé récupère le ballon au niveau du milieu de terrain, avance puis frappe de loin, le ballon se loge dans le petit filet opposé du gardien MAGNIFIQUE. Victoire du Fc Nantes 4-3 au terme d’un match exceptionnel, les Nantais se qualifient en demi-finale de coupe de la ligue. Résumé des buts Nantes 48e F.Djordjevic 52e F.Djordjevic 77e O.Vizcarrondo 87e S.Gakpé Nice 17e D.Digard 72e T.Kolodziejczak 85e D.Cvitanich...
Poko revient en grace !
0 Like(s) Après trois mois d’absences suite à une fracture du pied gauche, André Biyogo Poko qui avait déjà fait une entrée remarquable lors du derby de la Garonne, retrouvait hier soir, une place de titulaire au sein de l’effectif Bordelais en inscrivant un but. Suite à une opération subie au genou gauche en septembre dernier, le numéro 17 des marines et blanc a eu trois mois d’indisponibilités. Titulaire à sept reprises lors des huit premières rencontres des Girondins de bordeaux, le gabonais s’était blessé lors d’un match opposant le club au scapulaire au FC Lorient. Hier soir, il a fait son retour parmi les onze entrants Girondins qui affrontaient Paris pour le compte des ¼ de final d’une coupe de la ligue de belles affiches et de la plus belle des manières. Le meilleur joueur du trophée des champions qui avait retrouvée la ligue 1 samedi dernier au stade Chaban-Delmas en frappant sur la barre transversale du portier toulousain Ali Ahmada, avait réalisé un début de saison très captivant. Ce « Makelele gabonais » qui trouve souvent la force de courir au même rythme durant 90 minutes, s’est une fois de plus fait remarquer contre le PSG, en inscrivant un but plein d’envie et de détermination. Après le match du trophée des champions qui avait eu lieu à Libreville au Gabon et le match aller de championnat, c’était la troisième fois de la saison que les joueurs de Francis Gillot défiaient ceux de Laurent Blanc. On retient principalement que ce fut un match engagé et très rythmé en deuxième période que nous ont livré les deux équipes, malgré la domination intermittente de Paris. Mais surtout que c’était une énième occasion pour Poko de satisfaire son Président Jean-Louis Triaud qui avait refusé la saison dernière, de faire venir sous forme de prêt Adrien Rabiot, joueur formé au PSG, en disant que « C’est à Francis Gillot de décider. Au poste de milieu défensif, nous avons André Biyogo-Poko sous contrat. Pourquoi ne pas le faire jouer ? ». Le faire jouer, Gillot est entrain de le faire tout en donnant raison au président bordelais…A dire que même les présidents de club peuvent avoir une bonne vista d’entraineur. Ibohn Alexis...
Qui sera champion d’Angleterre?
0 Like(s) La « Premier League » est probablement le championnat le plus redoutable d’Europe. Avec cinq-six équipes capables de jouer régulièrement la ligue des champions, le foot Anglais est certainement le meilleur en Europe. Revue des possibles clubs pouvant jouer le titre: – Arsenal Il est bien loin le temps où Arsenal ne recrutait pas grand-chose en été, les Gunners ont réussi à faire la course en tête jusqu’à la trêve au plus grand étonnement de tout le monde. Amenés par un Mesut Ozil les gunners semblent être sur une autre planète, seulement Arsenal a connu un gros coup de moins bien avec une défaite inquiétante face à Naples et face à Manchester City. Attention. – Manchester City Manuel Pellegreni a réussi à métamorphoser cette équipe, construite à coup de millions Manchester City n’a jamais réussi à avoir un véritable projet de jeu sous l’ère de Roberto Mancini. Aujourd’hui l’arrivée de l’ingénieur sous les bords des citizens redonne espoir aux supporteurs, qualifiée pour les 1/8 de finale de la ligue des champions face aux poids lourds Barcelonais, la formation Anglaise peut espérer bien figurer. Amené par des contres-attaques supersoniques City est une équipe capable d’infliger des valises à des équipes comme Arsenal (6-3) et son voisin de United (4-1), ils sont capables de pouvoir prétendre au sacre final. – Chelsea José Mourinho de retour aux affaires, le happy one a de très grandes ambitions pour les blues tout abord rester à Londres pour de nombreuses années, durant son mandat faire gagner des trophées au blues. D’une poigne de fer le manager Portugais a connu un début de saison compliqué, avec des défaites surprises contre stoke city (3-2) ou un match nul surprise face à West Bromwich (2-2) mais depuis le match face à Stoke, Chelsea a pris 16 points sur 18 possibles. En coupe d’Europe, chelsea sera opposé à Galatasaray, une formalité ? L’avenir nous le dira. Chelsea peut prétendre à un titre de champion. – Liverpool Brendan Rodgers a repris un club en chantier du côté de la Mersey, Liverpool est certainement l’invitée surprise de cette saison du haut de tableau. Luis Suarez porte cette équipe à bras le corps, mais sans «El Pistolero» que vaut cette équipe? Une équipe compétitive? Une Suarez dépendance? J’opterai pour la deuxième option. Leader pendant quelques journées les reds reviennent dans le rang dû à des bléssés, Liverpool comparé au trio de tête n’a pas de coupe d’Europe à gérer. Cependant, le facteur coupe d’Europe est tellement minime avec les effectifs dantesques que possèdent les clubs. – Everton Le départ de David Moyes vers Manchester United aurait pu inquiéter davantage les supporters...
NFL – Divisional Playoffs : matchs du dimanche
0 Like(s) Après deux beaux matchs ce samedi, et un dimanche de repos bien mérité, nous voilà reparti pour les deux dernières rencontre de ce Divisional Playoffs. Au programme, encore un match NFC et un AFC : les 49ers affrontent les Panthers pour savoir qui retrouvera les Seahawks en finale NFC, et les Chargers se déplacent pour affronter les Broncos, et ainsi savoir qui sera opposé aux Patriots. San Francisco 49ers vs. Carolina Panthers : Lors de la saison régulière, ces deux équipes ne s’étaient départagées que d’un point, et bien qu’une nouvelle fois à l’extérieur, les 49ers ont une réelle envie de revanche ! En attaque, les hommes de coach Harbaugh déroulent leur début de match, en alternant parfaitement courses et passes, et permettent à Dawson d’inscrire les 6 premiers points du matchs, sur 2 FG. En défense, la tâche n’est pas aisée : QB Newton est une menace constante, aussi bien au sol qu’à la passe, et les Panthers possèdent un corps de RB impressionnant. Cependant, l’intenable trio de linebackers a encore « fait le job » : 2.5 sacks pour Brooks, 1 sack pour Bowman et 1 interception pour Wilis. What else ? Ajoutez 1 interception à SS Whitner, une aide de DE Jerod-Eddie sur l’un des sacks de Brooks, et un sack solo de LB Skuta. La liste des big plays défensifs est tout de même longue, non ? Malgré cela, QB Newton cumule tout de même 267yards à la passe, et un magnifique TD de 31 yards pour S. Smith, qui permet à Carolina de rester dans le match. Au sol, la performance des Panthers est en demie-teinte : 54 yards tout de même pour Newton, mais seulement 20 pour Tolbert, 13 pour Williams et 6 pour LaFell. La défense des 49ers prouve qu’elle peut s’adapter à un QB mobile, Wilson (Seahawks) est prévenu. En attaque, l’homme des 49ers est le WR Anquan Boldin qui a cumulé 8 réceptions pour 136 yards. Ajoutez à cela un magnifique catch dans le coin de la end zone de TE Davis pour TD (sa seule réception du match), mais également 84 yards au sol de Gore, 27 de Hunter et 15 de Kaepernick. En stoppant deux fois les Panthers sur leurs propres 1 yards, les Niners ont encore prouvé leur capacité à défendre très sereinement. Les Panthers ont donc du se contenter de 10 points, tous inscrits lors du QT2, et n’ont rien su faire face à l’attaque très organisée de Kaepernick. San Francisco se déplacera la semaine prochain au Century Link Field de Seattle dans le but de retourner au Super Bowl une seconde année de suite. Wilson, Lynch, Sherman et cie sont prévenus, les 49ers sont en forme ! San Diego Chargers vs. Denver Broncos : Tout le monde avaient une question en tête : les Chargers étaient-ils capables de réitérer leur exploit de saison régulière ? Et comme un symbole, une réponse à toutes ces interrogations, Peyton Manning et son attaque ont mis la machine en route. Un premier TD...
NFL – Divisional Playoffs : matchs du samedi
0 Like(s) Comme vous l’avez lu lors du preview, deux matchs de Playoffs avaient lieu ce samedi. Un en NFC et l’autre en AFC. Pour le premier, les Saints de New Orleans se déplaçaient dans l’antre des Seahawks, le Century Link Stadium de Seattle. Pour le second, les Patriots de New England accueillaient les Colts d’Indianapolis. Voici les analyses dès deux matchs sans plus tarder : New Orleans Saints @Seattle Seahawks : Lors de la saison régulière, j’ai souvent parlé de « seed » et donc de réception des matchs de playoffs. Jouer à domicile est un avantage certain, surtout dans de pareilles conditions. Imaginez QB Brees et l’attaque des Saints, habituées à jouer au chaud sous leur dome, se retrouvant en plein vent à Seattle, sous la pluie, et confronté au plus bruyant des publics NFL. Coach Payton avait pensé à faire peindre les logos des Seahaws sur les terrains d’entrainement, mais il n’avait pas pensé à tout le reste. Dans cet univers hostile, on ne peut pas dire que les Saints débutent de la meilleure des façons ce match. QB Brees réalise sa pire première mi temps depuis 2006, et cumule seulement 34 yards. Ajouté à cela des RBs littéralement sous pression, cela ne fait pas avancer beaucoup. Même K Graham ne passe pas son premier FG, et K Hauschka en profite pour donner l’avantage à Seattle. Les Seahawks justement, parlons-en. L’une des forces de QB Wilson, est de ne jamais (ou presque) forcer son jeu de passe. En première mi-temps, le jeune mais expérimenté QB fera le strict nécessaire pour faire avancer l’attaque, sans risquer de turnover. A la suite d’une balle récupérée sur un fumble d’Ingram, c’est l’inévitable RB Marshawn Lynch qui ira au TD sur une course de 15y. Vous l’aurez compris, la première mi-temps est un enfer pour les Saints. Notons également le retour « éphémère » de WR Percy Harvin, qui n’avait plus joué depuis la week 11 : le WR subit un gros hit de FS Bush dès le premier drive, puis se cogne la tête au sol sur une réception, ce qui le contraint de quitter ses partenaires à cause d’une commotion. Au retour des vestiaires, pas de révolution, mais du changement. Cette saison, les Seahaws n’ont jamais encaissé de TD lors du QT3, ce n’est pas aujourd’hui que ça va commencer. Cependant, QB Wilson ne complète pas de passe non plus durant ce QT. Et même si New Orleans a du mal à revenir dans le match, un joueur se fait remarquer par sa bonne lecture du jeu et ses pressions constantes sur les attaquants de Seattle : DE Cameron Jordan. En deuxième mi-temps donc, les rôles s’inversent quelque peu. QB Brees trouve enfin ses différentes cibles : Colston, Sproles, Hill, Moore, Meachem, Graham … ah non! Pas Graham ! Le célèbre TE des Saints est surveillé de...
NFL Playoffs : Divisional Round Preview
0 Like(s) Après un week-end de Wild Card très agité, et de bien beaux matchs, revoici la NFL ce week end avec 4 matchs encore une fois. L’entrée en lice des seed #1 et #2 va-t-elle écraser la concurrence ? Ou alors ce sont les équipes fraîchement qualifiées qui vont continuer sur leur lancée. En attendant samedi puis dimanche soir, je vous propose un preview de nos 4 rencontres du week end. New Orleans Saints @Seattle Seahawks (samedi 22h35 heure française) : Le hasard des seed leur a fait éviter leurs rivaux de division (Panthers), mais les Saints se retrouvent face à l’équipe à craindre de cette saison en NFC : les Seahawks de Seattle. Emmenés par QB Wilson aussi précieux à la passe qu’à la course, le jeune QB (2ème saison) fait trembler toutes les défenses. Si on le compare à Drew Brees (Saints), il est certain qu’il ne fait pas le poids à la passe (3357y et 26TD contre 5162y et 39TD). Cependant, au sol, le jeu des Seahawks est autrement plus efficace. Bien sûr Wilson réalise sa part de travail, en ayant couru 539y cette saison (seulement 10 de moins que Thomas, meilleur coureur des Saints…) mais il est devancé par le RB titulaire, Marshawn Lynch ! Lynch et les Saints, quelle histoire d’amour … Souvenez-vous de ce fameux match de Wild Card d’il y a deux ans : 2nd & 10 sur les 33 des Seahawks, balle pour Lynch, 8 plaquages cassés, TD de 67 yards : Beast Mode et tremblement de terre ressenti par les sismologues de Seattle tellement les fans ont sauté dans le stade ! Bref, les Saints sont prévenus. Côté Saints justement, malgré une belle victoire la semaine dernière (26-24 vs. Eagles), ce n’est pas la grande joie. Comme annoncé précédemment, Drew Brees est toujours au top, ou presque, et son corps de WR est des plus impressionnants : Graham, Colston, Stills, Sproles … Le gros soucis de la franchise de New Orleans est au sol : avec Thomas encore incertain, c’est surement Ingram qui prendra la majorité des snaps (18 courses pour 97y la semaine dernière), mais derrière lui, c’est le vide. Brees n’a pas l’âme d’un coureur comme Wilson et Sproles a du mal à revenir à un niveau convenable. La grosse satisfaction de la semaine dernière, est d’avoir su tenir LeSean McCoy sous les 100y (77). ILB Hawthorne et les NTs Bunkley et Jenkins auront encore une fois un rôle plus qu’important dans la gestion du jeu de courses adverse. On sait également que coach Payton est un fin tacticien, et qu’il ne reste rien au hasard : il a fait effacer les logo des Saints sur les terrains d’entrainement pour y faire peindre ceux des … Seahawks ! Et oui, New Orleans joue à l’extérieur, et il faut que les joueurs s’habituent à ce nouvel environnement ! Bref, encore un gros match qui s’annonce ! Indianapolis...
Y’a-t-il trop d’entraineurs étrangers en Europe ?
2 Like(s) Après la déclaration de José Mourinho disant qu’il y a trop de coachs étrangers dans les championnats, je m’interroge sur le fait de savoir s’il y a vraiment trop d’entraineur en Europe. Décryptage. Angleterre-Allemagne-Espagne : même combat En Angleterre on peut remarquer que l’happy one a un tout petit peu tort, il est recensé 8 entraîneurs Anglais, contre 12 entraineurs étrangers. On retrouve les entraîneurs étrangers dans les équipes les plus prestigieuses Arsène Wenger à Arsenal, José Mourinho à Chelsea, Brendan Rodgers à Liverpool et j’en passe. Les Anglais ont réussi à obtenir des succès satisfaisant au cours des dernières années mais le plus souvent avec des entraîneurs étrangers comme un certain Sir Alex Ferguson ou Roberto di Matteo derniers vainqueurs de la ligue des champions. En Allemagne on retrouve autant d’entraîneurs étrangers dans la bundesglia par rapport à l’Angleterre. En Allemagne ce sont 7 entraîneurs qu’on retrouve en première division dont Samy Hyppia (entraineur du Bayer Leverkusen) et Pep Guardiola (B. Munich), cela n’empêche pas aux championnats Allemands de développer à grande vitesse leurs championnats sur le plan Européen. Concernant la Liga Espagnol 6 entraîneurs étrangers sont sur les bancs du pays hispanique, l’Espagne est un pays qui ramassait les dernières compétitions européennes, mais le problème que l’on peut se poser les étrangers sont-ils meilleurs que les locaux ? France-Italie en régression Notre cher championnat de France qui me tient à cœur, en France il n’y a que deux malheureux entraîneurs étrangers, 1 à Valenciennes et 1 autre Monaco. On peut voir nos résultats Européens (pas la peine que je prenne la peine de développer). En Italie, seuls 4 entraîneurs étrangers exercent, pourtant les effectifs Italiens parviennent à avoir des résultats supérieurs par rapport à nos entraîneurs Français. Mourinho a un peu raison, dans certains championnats on peut remarquer que l’expansion des entraîneurs étrangers est présents : Les championnats où les entraîneurs étrangers y exercent il y a plus de succès. Les championnats où les entraîneurs nationaux (de leur propre pays y figure) y exercent, les résultats sont moins présents. Doit-on en conclure que les entraîneurs étrangers sont plus efficaces qu’un entraîneur de son propre pays ?...
NFL – Analyses des Wild Card du dimanche
0 Like(s) Au programme ce dimanche, les deux derniers matchs du tour de Wild Card : les Chargers se déplaçaient dans l’enfer du Paul Brown Stadium de Cincinnati, et les Packers recevaient les 49ers dans une atmosphère glaciale. San Diego Chargers vs. Cincinnati Bengals : Alors invaincus à domicile lors de la saison régulière (8 matchs, 8 victoires), les Bengals ne débutent pas au mieux leur match, et laissent les visiteurs scorer en premier par l’intermédiaire de RB Woodhead, qui inscrit la le premier TD en playoffs de sa carrière. Avec une telle météo (moins de 5°C, de la pluie durant toute la deuxième mi-temps), le jeu au sol était primordial. Côté Chargers, en plus des 54y et du TD de Woodhead, deux autres coureurs ont passé la barre des 50y : Mathews (52) et Brown (77 et 1TD) ont fait avancé l’attaque de manière efficace. Intelligemment, QB Rivers a limité son nombre de passe, et a donc été très appliqué : 12/16 et 128y, pour 1 TD mais aucune interception. C’est peu mais c’est propre. En défense, la grosse satisfaction vient de l’ ILB Butler, qui a cumulé 9 plaquages, 3 aides au plaquages et un fumble forcé. Niveau démonstration offensive, c’est certain que l’on est très loin des matchs d’hier, avec uniquement 16 first downs pour les Chargers. Côté Bengals, après un premier QT plutôt loupé (menés 0-7), les joueurs se sont réveillés et ont sorti leur habituel « deuxième QT parfait ». Durant la saison régulière, Cincinnati n’a jamais encaissé de point durant le QT2, et c’est encore le cas ce soir : un TD à la passe pour Gresham et un FG de Nugent permettent aux Bengals de reprendre l’avantage. Puis QB Andy Dalton a montré qu’il n’était pas fait pour les playoffs, encore une fois. En multipliant le jeu à la passe sous la pluie, le QB a produit un jeu avec beaucoup de déchets : 56% seulement de completion, 334y à la passe tout de même, mais pour seulement 1 TD et avec 2 interceptions. Au sol, les RB ont été bien tenus par la défense de San Diego : 45y pour Bernard, 42 pour Green Ellis et 26 pour Dalton. Malgré la belle prestation de WR Marvin Jones, qui cumule 130y de réception en 8 catchs, l’attaque des Bengals ne trouve pas de solution, et subit trop de turnovers : en plus des 2 interceptions de Dalton, Bernard et Dalton perdront la balle sur des fumbles. Côté défense, on est obligé de souligner l’excellente présence du MLB Rey Maualuga qui a cumulé 12 plaquages, et ce malgré la débâcle de Cincinnati en deuxième mi-temps. Un ultime TD à la course de Brown sur 58 yards viendra supprimer tout espoir pour les joueurs de coach Marvin Lewis. Encore une fois, les Bengals s’inclinent en playoffs, cette fois ci sur le score de 27-10. San Francisco 49ers vs. Green...